SENEGAL : Gorgui Dieng : « J’ai bon espoir pour la Coupe du monde 2014 »
Gorgui
Dieng est en vacances au Sénégal. Le pivot des Timberwolves de
Minnesota en a profité pour évoquer sa première saison en Nba, la Ligue
nord-américaine de basket-ball. Le joueur de 24 ans a également confirmé
qu’il voulait disputer la Coupe du monde 2014 avec les « Lions de la
Téranga ».
Gorgui Dieng, pourquoi êtes-vous de retour au Sénégal ?
Gorgui Dieng : J’ai fini la saison Nba et je suis juste de retour à la maison. Vous savez, je suis né et j’ai grandi ici. Donc, dès que j’ai pu, je suis rentré pour voir ma famille, mes amis et participer à des actions en faveur de la communauté. […]
Ça fait environ cinq ans que vous avez quitté le Sénégal pour les Etats-Unis. Subissez-vous un choc culturel quand vous retournez dans votre pays ?
Non, pas vraiment, à part quand il faut parler français, parce que je n’ai plus vraiment l’habitude de le parler. Je suis plus habitué à parler anglais ou wolof. Mais à part cela, je suis très content d’être rentré.
Est-ce que vous auriez pu imaginer devenir joueur Nba quand vous avez commencé le basket-ball ?
C’était un rêve. J’ai commencé le basket quand j’étais petit. […] Quand je me suis rendu au camp de détection « Basketball without borders » en Afrique du Sud (en 2009), j’ai été élu meilleur joueur (Mvp) et j’ai commencé à croire que je pouvais devenir un joueur Nba.
Comment jugez-vous votre première saison en Nba, avec les Timberwolves de Minnesota ?
Ça a été une bonne expérience. Mais ça a été plutôt décevant parce qu’on n’a pas gagné beaucoup de matches (40 sur 82, Ndlr). Ça n’a pas été suffisant pour participer aux play-offs. Maintenant, on n’a qu’une hâte : reprendre la saison et tenter de se qualifier pour les play-offs.
Evoluer aux côtés du Camerounais Luc Mbah a Moute, votre partenaire chez les Timberwolves, est-ce que ça a facilité votre adaptation ?
Oui, je suis tout le temps avec Ronny (Turiaf, le Français, Ndlr) et Luc. Ils viennent souvent chez moi, on déjeune tout le temps ensemble. Ils me conseillent souvent et m’aident à comprendre comment la Nba fonctionne.
Vous avez été élu meilleur joueur débutant du mois de mars. Est-ce encourageant ?
J’ai été heureux de cette distinction. Ça a été une grande source de motivation supplémentaire pour moi. Ça m’a donné envie de travailler encore plus dur pour parvenir à mes fins.
Qu’est-ce qui a été le plus difficile durant cette première année ?
S’entraîner encore et encore, sans être sûr de jouer. C’était très frustrant. Mais je ne pouvais pas me laisser aller à être contrarié, même si la saison était longue.
Qu’est-ce que vous espérez pour votre deuxième saison ?
Je ne sais pas. Nous n’avons pas d’entraîneur pour le moment. Je veux juste être prêt et faire ce que je sais faire. Et quoiqu’il arrive, je serai prêt à jouer.
Est-ce que les Timberwolves vous laisseront disputer la Coupe du monde 2014 en Espagne avec l’équipe du Sénégal ?
Je vais essayer de tout faire pour jouer pour mon pays. Je suis au Sénégal en ce moment et je rencontre beaucoup de gens qui travaillent là-dessus, pour réunir tous les documents nécessaires. Donc j’ai bon espoir de pouvoir jouer la Coupe du monde (1).
Ça veut dire qu’on pourrait aussi vous voir avec les « Lions de la Téranga » lors d’un Afrobasket, par exemple ?
Oui, je pourrai jouer pour mon équipe nationale à tout moment. J’adore mon pays et je jouerai pour lui à chaque fois que le Sénégal aura besoin de moi.
Parlons d’un tout autre sujet. Vous aviez rencontré Barack Obama, le Président des Etats-Unis, parce que votre équipe avait remporté le Championnat universitaire 2013. Ça fait quoi de serrer la main de l’homme le plus puissant du monde ?
C’était génal et j’ai vraiment apprécie ce moment : être à la Maison Blanche, rencontrer le Président Obama… Et en plus, il rentrait du Sénégal quand je l’ai vu.
Juste avant la draft Nba, la sélection des meilleurs débutants, Barack Obama avait justement parlé de vous lors d’une conférence de presse à Dakar. Qu’est-ce que vous avez ressenti à ce sujet ?
C’était un grand honneur évidemment. L’homme le plus puissant du monde parle de toi ! J’ai vraiment apprécié…
Barack Obama a critiqué les propos racistes de Donald Sterling, le propriétaire des Clippers de Los Angeles, une autre équipe de la Nba. Comment vous avez réagi aux propos de Donald Sterling ?
Je soutiens évidemment la décision du Commissioner Adam Silver (le patron de la Nba, Ndlr). Et j’ai confiance en la Nba pour résoudre ce problème.
Gorgui Dieng, pourquoi êtes-vous de retour au Sénégal ?
Gorgui Dieng : J’ai fini la saison Nba et je suis juste de retour à la maison. Vous savez, je suis né et j’ai grandi ici. Donc, dès que j’ai pu, je suis rentré pour voir ma famille, mes amis et participer à des actions en faveur de la communauté. […]
Ça fait environ cinq ans que vous avez quitté le Sénégal pour les Etats-Unis. Subissez-vous un choc culturel quand vous retournez dans votre pays ?
Non, pas vraiment, à part quand il faut parler français, parce que je n’ai plus vraiment l’habitude de le parler. Je suis plus habitué à parler anglais ou wolof. Mais à part cela, je suis très content d’être rentré.
Est-ce que vous auriez pu imaginer devenir joueur Nba quand vous avez commencé le basket-ball ?
C’était un rêve. J’ai commencé le basket quand j’étais petit. […] Quand je me suis rendu au camp de détection « Basketball without borders » en Afrique du Sud (en 2009), j’ai été élu meilleur joueur (Mvp) et j’ai commencé à croire que je pouvais devenir un joueur Nba.
Comment jugez-vous votre première saison en Nba, avec les Timberwolves de Minnesota ?
Ça a été une bonne expérience. Mais ça a été plutôt décevant parce qu’on n’a pas gagné beaucoup de matches (40 sur 82, Ndlr). Ça n’a pas été suffisant pour participer aux play-offs. Maintenant, on n’a qu’une hâte : reprendre la saison et tenter de se qualifier pour les play-offs.
Evoluer aux côtés du Camerounais Luc Mbah a Moute, votre partenaire chez les Timberwolves, est-ce que ça a facilité votre adaptation ?
Oui, je suis tout le temps avec Ronny (Turiaf, le Français, Ndlr) et Luc. Ils viennent souvent chez moi, on déjeune tout le temps ensemble. Ils me conseillent souvent et m’aident à comprendre comment la Nba fonctionne.
Vous avez été élu meilleur joueur débutant du mois de mars. Est-ce encourageant ?
J’ai été heureux de cette distinction. Ça a été une grande source de motivation supplémentaire pour moi. Ça m’a donné envie de travailler encore plus dur pour parvenir à mes fins.
Qu’est-ce qui a été le plus difficile durant cette première année ?
S’entraîner encore et encore, sans être sûr de jouer. C’était très frustrant. Mais je ne pouvais pas me laisser aller à être contrarié, même si la saison était longue.
Qu’est-ce que vous espérez pour votre deuxième saison ?
Je ne sais pas. Nous n’avons pas d’entraîneur pour le moment. Je veux juste être prêt et faire ce que je sais faire. Et quoiqu’il arrive, je serai prêt à jouer.
Est-ce que les Timberwolves vous laisseront disputer la Coupe du monde 2014 en Espagne avec l’équipe du Sénégal ?
Je vais essayer de tout faire pour jouer pour mon pays. Je suis au Sénégal en ce moment et je rencontre beaucoup de gens qui travaillent là-dessus, pour réunir tous les documents nécessaires. Donc j’ai bon espoir de pouvoir jouer la Coupe du monde (1).
Ça veut dire qu’on pourrait aussi vous voir avec les « Lions de la Téranga » lors d’un Afrobasket, par exemple ?
Oui, je pourrai jouer pour mon équipe nationale à tout moment. J’adore mon pays et je jouerai pour lui à chaque fois que le Sénégal aura besoin de moi.
Parlons d’un tout autre sujet. Vous aviez rencontré Barack Obama, le Président des Etats-Unis, parce que votre équipe avait remporté le Championnat universitaire 2013. Ça fait quoi de serrer la main de l’homme le plus puissant du monde ?
C’était génal et j’ai vraiment apprécie ce moment : être à la Maison Blanche, rencontrer le Président Obama… Et en plus, il rentrait du Sénégal quand je l’ai vu.
Juste avant la draft Nba, la sélection des meilleurs débutants, Barack Obama avait justement parlé de vous lors d’une conférence de presse à Dakar. Qu’est-ce que vous avez ressenti à ce sujet ?
C’était un grand honneur évidemment. L’homme le plus puissant du monde parle de toi ! J’ai vraiment apprécié…
Barack Obama a critiqué les propos racistes de Donald Sterling, le propriétaire des Clippers de Los Angeles, une autre équipe de la Nba. Comment vous avez réagi aux propos de Donald Sterling ?
Je soutiens évidemment la décision du Commissioner Adam Silver (le patron de la Nba, Ndlr). Et j’ai confiance en la Nba pour résoudre ce problème.
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