ILE MAURICE : SUPER LEAGUE 2014 (21E JOURNÉE): Le Real s’impose au forceps
La 21e journée de la Super League a
souri au Real, à l’ASVP et aux Hammers. Ces trois équipes ont acquis des
victoires presque au forceps. Le match phare de cette journée a été la
rencontre mettant aux prises Attila au Real, dans un duel de frères
ennemis remporté par les tenants du trophée.
À bien voir la physionomie du match, on dirait que ça n’a été qu’une partie de ping-pong. La rencontre a vu le Real être mené, revenir au score, mener, puis se faire rattraper, tout ça en deux quart-temps, pour s’imposer au final 66-54. « Nous avions mal débuté la rencontre », analysait à chaud Neva Vadiveloo, l’entraîneur du Real.
En effet, cette phrase s’est traduite par la maladresse de Mohamed qui, à lui seul, manquait quatre lancers francs coup sur coup. « En fait, nous payons cher notre manque de match », estime le technicien port-louisien, avançant le fait que les matches du Real sont assez espacés.
Cela dit, les choses, ayant pris une tournure qui donnait l’avantage à Attila, tourneront assez facilement en faveur des Verts par la suite. Si Attila menait 10-6, puis 14-11 au premier quart, c’est au deuxième quart que la machinerie verte se mettait en branle. « Dans la pratique, il n’y a rien à regretter. Par contre, techniquement, nous ne sommes pas encore au point », avoue Nicolas Duval sur la performance de ses joueurs. Ce sont quelques déchets, comme il les appelle. « En réalité, nous avons manqué cinq passes faciles. Au décompte, ça nous fait dix points, ce qui nous aurait ramené à deux points au score final. »
Toujours est-il que le Real s’est bien repris pour se retrouver seul en tête à la mi-temps (37-24), dont un superbe tir à trois points de Jean-François Namasivayen au buzzer. Au troisième quart, Attila retrouvait la forme, alors que le Real menait 42-31. Les protégés de Nicolas Duval remettait les pendules à l’heure en revevant à 46-41.
Mais c’était déjà trop tard. Après une courte période de doute, le Real reprenait les choses en main. De là, l’issue n’allait pas évoluer, si ce n’est que les esprits étaient un peu échauffés, avec des fautes assez flagrantes.
À 2’19 de la fin, le score était de 66-51. Pas de gros changements au tableau d’affichage, puisque le score final est de 66-54. « Je suis satisfait des joueurs, même si on a un peu tâtonné en début de rencontre. Mais cela montre qu’avec le sérieux nécessaire on peut arriver à quelque chose », souligne Neva Vadiveloo.
Même son de cloche chez Nicolas Duval, qui prenait la défaite avec beaucoup d’optimisme. « Si on excepte les déchets techniques, nous avons pu produire notre jeu. Par contre, je dois aussi reconnaître que les joueurs étaient assez crispés », avoue le coach.
L’autre match phare de la journée mettait aux prises l’ASVP à BBRH-Hoop. Une rencontre que les Rose-Hilliens ont perdue au troisième quart, quand ils se sont fait rattraper après avoir mené pendant les deux premières tranches. Les Vacoassiens, carburant au super, remontent donc un déficit de huit points en moins de cinq minutes, puis passent tout de suite devant, malgré que Hoop soit resté au contact.
« Nous n’avions pas pu démarrer comme on le souhaitait. Cependant, je reconnais que Hoop a pratiqué une défense en zone qui nous a beaucoup gênés », fait ressortir Angelo Pampusa, l’entraîneur de l’ASVP. En effet, ayant dû faire asseoir Donovan Oh Chung Chong, ce dernier étant avec quatre fautes, il s’est retrouvé sans véritable meneur.
Mais ce dernier, une fois sur le terrain, remettait l’ASVP sur les bons rails. « Quand il est rentré au quatrième quart, il a été encore plus percutant. Mais ce que j’ai apprécié, c’est que les joueurs ont repris confiance au bon moment. »
Du côté de Hoop, cette défaite semble passer mal. « Nous avons six ou sept joueurs blessés. Puis, nous avons fait des erreurs défensives assez bêtes », explique Rubin Batterie, coach de l’équipe rose-hillienne, qui est, par deux fois, sorti de ses gonds, lui qui est d’habitude très calme.
Mais au final, le score (66-56) reflète dans son ensemble la physionomie du match, avec une équipe qui monte graduellement en puissance et l’autre qui s’effondre petit à petit.
Dans la dernière rencontre de la soirée, les Hammers, tombeurs des Roche Bois Warriors une semaine auparavant, ont remporté leur deuxième match consécutif contre le désormais relégable CSSC sur le score de 67-62. Certes, une victoire acquise à la force des poignets, mais qui conforte la place des Nordistes au milieu du tableau et qui réjouit Lindsay Legris. « Nous sommes sur une bonne dynamique. Et je pense que c’est une motivation supplémentaire pour les joueurs », souriait-il après la rencontre. Il a de quoi être optimiste : la prochaine sortie, contre l’EDB Cassis, ne risque pas d’être aussi facile.
À bien voir la physionomie du match, on dirait que ça n’a été qu’une partie de ping-pong. La rencontre a vu le Real être mené, revenir au score, mener, puis se faire rattraper, tout ça en deux quart-temps, pour s’imposer au final 66-54. « Nous avions mal débuté la rencontre », analysait à chaud Neva Vadiveloo, l’entraîneur du Real.
En effet, cette phrase s’est traduite par la maladresse de Mohamed qui, à lui seul, manquait quatre lancers francs coup sur coup. « En fait, nous payons cher notre manque de match », estime le technicien port-louisien, avançant le fait que les matches du Real sont assez espacés.
Cela dit, les choses, ayant pris une tournure qui donnait l’avantage à Attila, tourneront assez facilement en faveur des Verts par la suite. Si Attila menait 10-6, puis 14-11 au premier quart, c’est au deuxième quart que la machinerie verte se mettait en branle. « Dans la pratique, il n’y a rien à regretter. Par contre, techniquement, nous ne sommes pas encore au point », avoue Nicolas Duval sur la performance de ses joueurs. Ce sont quelques déchets, comme il les appelle. « En réalité, nous avons manqué cinq passes faciles. Au décompte, ça nous fait dix points, ce qui nous aurait ramené à deux points au score final. »
Toujours est-il que le Real s’est bien repris pour se retrouver seul en tête à la mi-temps (37-24), dont un superbe tir à trois points de Jean-François Namasivayen au buzzer. Au troisième quart, Attila retrouvait la forme, alors que le Real menait 42-31. Les protégés de Nicolas Duval remettait les pendules à l’heure en revevant à 46-41.
Mais c’était déjà trop tard. Après une courte période de doute, le Real reprenait les choses en main. De là, l’issue n’allait pas évoluer, si ce n’est que les esprits étaient un peu échauffés, avec des fautes assez flagrantes.
À 2’19 de la fin, le score était de 66-51. Pas de gros changements au tableau d’affichage, puisque le score final est de 66-54. « Je suis satisfait des joueurs, même si on a un peu tâtonné en début de rencontre. Mais cela montre qu’avec le sérieux nécessaire on peut arriver à quelque chose », souligne Neva Vadiveloo.
Même son de cloche chez Nicolas Duval, qui prenait la défaite avec beaucoup d’optimisme. « Si on excepte les déchets techniques, nous avons pu produire notre jeu. Par contre, je dois aussi reconnaître que les joueurs étaient assez crispés », avoue le coach.
L’autre match phare de la journée mettait aux prises l’ASVP à BBRH-Hoop. Une rencontre que les Rose-Hilliens ont perdue au troisième quart, quand ils se sont fait rattraper après avoir mené pendant les deux premières tranches. Les Vacoassiens, carburant au super, remontent donc un déficit de huit points en moins de cinq minutes, puis passent tout de suite devant, malgré que Hoop soit resté au contact.
« Nous n’avions pas pu démarrer comme on le souhaitait. Cependant, je reconnais que Hoop a pratiqué une défense en zone qui nous a beaucoup gênés », fait ressortir Angelo Pampusa, l’entraîneur de l’ASVP. En effet, ayant dû faire asseoir Donovan Oh Chung Chong, ce dernier étant avec quatre fautes, il s’est retrouvé sans véritable meneur.
Mais ce dernier, une fois sur le terrain, remettait l’ASVP sur les bons rails. « Quand il est rentré au quatrième quart, il a été encore plus percutant. Mais ce que j’ai apprécié, c’est que les joueurs ont repris confiance au bon moment. »
Du côté de Hoop, cette défaite semble passer mal. « Nous avons six ou sept joueurs blessés. Puis, nous avons fait des erreurs défensives assez bêtes », explique Rubin Batterie, coach de l’équipe rose-hillienne, qui est, par deux fois, sorti de ses gonds, lui qui est d’habitude très calme.
Mais au final, le score (66-56) reflète dans son ensemble la physionomie du match, avec une équipe qui monte graduellement en puissance et l’autre qui s’effondre petit à petit.
Dans la dernière rencontre de la soirée, les Hammers, tombeurs des Roche Bois Warriors une semaine auparavant, ont remporté leur deuxième match consécutif contre le désormais relégable CSSC sur le score de 67-62. Certes, une victoire acquise à la force des poignets, mais qui conforte la place des Nordistes au milieu du tableau et qui réjouit Lindsay Legris. « Nous sommes sur une bonne dynamique. Et je pense que c’est une motivation supplémentaire pour les joueurs », souriait-il après la rencontre. Il a de quoi être optimiste : la prochaine sortie, contre l’EDB Cassis, ne risque pas d’être aussi facile.
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