TUNISIE : Finale au super play-off — Acte II — CA-ESS (ce samedi)
Le poids des détails…
La réussite individuelle, l’adresse des cadres et la concentration
en défense, voilà des critères qui peuvent trancher. Ils peuvent même
être des détails…
L’acte I de l’affiche CA-ESS (finale au super play-off) s’est terminée sur le fil en faveur de l’ESS. Ça s’est joué presque sur rien vers la fin d’un match palpitant et qui a tenu en halène les admirateurs de ce sport. Le match a été l’occasion de voir les deux meilleures équipes du championnat. On savait bien sûr qu’elles allaient toutes les deux se disputer le titre final pour deux raisons : elles ont les meilleurs effectifs, et puis elles sont les plus régulières. Quand elles se disputent le match de la consécration, cela veut dire que l’on doit voir le meilleur basket. Chose qui n’a pas été faite, on a vu un basket techniquement moyen et ça se comprend. A enjeu pareil, on ne peut pas demander mieux. Monem Oune et Gavriel ont misé, tous les deux, sur les qualités collectives de leurs équipes, et sur le savoir individuel des cadres.
Le quatrième quart-temps
Dans ce genre de matches, les détails peuvent faire la différence : un panier raté ici et intercepté par la défense adverse, un panier de trois points vers la fin, un lancer franc inscrit ou raté, un rebond offensif gagné. Bref, ça peut faire basculer le match. Et même ces critères importants en basket, tels que les stratégies offensives, l’adresse individuelle ou l’efficacité défensive, peuvent se résumuer (et même se transformer) en quelques détails.
Bien que dominateur vers le 3e et le 4e quart-temps, le CA a fini par lâcher vers la fin en faveur de Rezig (auteur d’un inoubliable panier à trois points). La victoire a balancé d’un camp à l’autre en quelques secondes.
Et il faut s’attendre, encore une fois, à un duel équilibré qui peut se jouer vers la fin et au 4e quart-temps. Avec deux effectifs riches en solutions, Oune et Gavriel savent bien que le 4e quart-temps va être décisif. Ces détails dont nous avons parlé vont se manifester vers la fin. Et c’est à ce moment que l’on va voir si les cadres des deux équipes auront du jus ou non, et s’ils ont de la personnalité ou non. Rezig, Marouène Kechrid, Channoufi, Massamba, Mouhli, Maoua et Toumi pour l’ESS, Knioua, Mohamed H’didane, M. El Mabrouk, Naïm Dhifallah, Ezzahi, Choua du côté clubiste, voilà les noms-clés dans les deux équipes qui portent les espoirs de leurs entraîneurs.
On ne devra pas être temoins d’un match où il y aura une équipe qui va dominer l’autre. CA et ESS ont prouvé, dans les matches qu’ils ont joués cette saison, qu’ils ont un niveau appréciable et qui se rapproche. Ce ne sont pas les mêmes styles de jeu, ni les mêmes profils de joueurs, mais c’est la même expérience et c’est la même envie.
L’acte I de l’affiche CA-ESS (finale au super play-off) s’est terminée sur le fil en faveur de l’ESS. Ça s’est joué presque sur rien vers la fin d’un match palpitant et qui a tenu en halène les admirateurs de ce sport. Le match a été l’occasion de voir les deux meilleures équipes du championnat. On savait bien sûr qu’elles allaient toutes les deux se disputer le titre final pour deux raisons : elles ont les meilleurs effectifs, et puis elles sont les plus régulières. Quand elles se disputent le match de la consécration, cela veut dire que l’on doit voir le meilleur basket. Chose qui n’a pas été faite, on a vu un basket techniquement moyen et ça se comprend. A enjeu pareil, on ne peut pas demander mieux. Monem Oune et Gavriel ont misé, tous les deux, sur les qualités collectives de leurs équipes, et sur le savoir individuel des cadres.
Le quatrième quart-temps
Dans ce genre de matches, les détails peuvent faire la différence : un panier raté ici et intercepté par la défense adverse, un panier de trois points vers la fin, un lancer franc inscrit ou raté, un rebond offensif gagné. Bref, ça peut faire basculer le match. Et même ces critères importants en basket, tels que les stratégies offensives, l’adresse individuelle ou l’efficacité défensive, peuvent se résumuer (et même se transformer) en quelques détails.
Bien que dominateur vers le 3e et le 4e quart-temps, le CA a fini par lâcher vers la fin en faveur de Rezig (auteur d’un inoubliable panier à trois points). La victoire a balancé d’un camp à l’autre en quelques secondes.
Et il faut s’attendre, encore une fois, à un duel équilibré qui peut se jouer vers la fin et au 4e quart-temps. Avec deux effectifs riches en solutions, Oune et Gavriel savent bien que le 4e quart-temps va être décisif. Ces détails dont nous avons parlé vont se manifester vers la fin. Et c’est à ce moment que l’on va voir si les cadres des deux équipes auront du jus ou non, et s’ils ont de la personnalité ou non. Rezig, Marouène Kechrid, Channoufi, Massamba, Mouhli, Maoua et Toumi pour l’ESS, Knioua, Mohamed H’didane, M. El Mabrouk, Naïm Dhifallah, Ezzahi, Choua du côté clubiste, voilà les noms-clés dans les deux équipes qui portent les espoirs de leurs entraîneurs.
On ne devra pas être temoins d’un match où il y aura une équipe qui va dominer l’autre. CA et ESS ont prouvé, dans les matches qu’ils ont joués cette saison, qu’ils ont un niveau appréciable et qui se rapproche. Ce ne sont pas les mêmes styles de jeu, ni les mêmes profils de joueurs, mais c’est la même expérience et c’est la même envie.
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