TUNISIE : Finale super play-off – Acte I — ESR-ESS : 67-69
Les Etoilés au finish
Zyed Channoufi (5 tirs à trois points) a été l’homme qui a ramené une victoire précieuse aux siens. En attendant le match de Sousse…
On s’est régalé hier avec le match ESR-ESS. L’acte 1 a tourné in extremis en faveur des Etoilés plus réalistes et plus sobres vers la fin. Les Radèsiens, eux, ont bien joué avec une variété dans les paniers (débordements, relais et tirs à trois points), mais ont manqué de précision et d’adresse vers la fin. Ce fut un match à rebondissements et à périodes. L’ESS, qui a usé de la défense pressante homme à homme a été remarquable au 1er quart-temps pour l’emporter 23-15. Avec un Makram Ben Romdhane méconnaissable, l’ESS a commis trop de fautes individuelles pour permettre à Abada, Gueddour et Maghrebi de revenir grâce à leur vitesse (19-23, 21-25, 25-30). C’était compter sans les solutions de rechange chez l’ESS : Naddari et Channoufi permetent à leur équipe de terminer la mi-temps 38-34. C’est le moment que les Radésiens ont choisi pour élever la vitesse : Plus frais, ils obligent les étoilés à jouer en périphérie en faisant circuler plus la balle pour remonter au score (39-38, 43-40 et 47-44). Abada, Gueddour, Smaali et Souabni nous ont offert un beau basket collectif au moment où l’ESS a bloqué.
Channoufi show
Le 4e quart-temps était fou. Le compteur avançait lentement point par point et aucune des deux équipes n’a pu s’échapper. L’ESS n’a pu exploiter les 6 points d’avance au niveau de 62-56, alors que l’ESR a raté des balles faciles (sur turnovers) quand elle avait le match en main après son retour 64-64.Tout s’est joué sur des détails : à 69-67 pour l’ESS, l’ESR reconquiert la balle à 10’’ mais prépare mal la position du tir à trois points. On ne vous a pas parlé d’un certain Zyed Channoufi, l’homme de la victoire étoilée. Ce garçon a inscrit 5 tirs à trois points au 4e quart-temps. Un véritable show de la part d’un joueur qui a commis 4 fautes ! Ses paniers ont sauvé l’ESS de la méforme de Gaga et Ben Romdhane. Rendez-vous pour l’acte 2 où l’enjeu sera énorme. L’ESS de Grievel est à une victoire pour conserver son bien. Comme quoi le métier de l’ESS reste son premier atout.
On s’est régalé hier avec le match ESR-ESS. L’acte 1 a tourné in extremis en faveur des Etoilés plus réalistes et plus sobres vers la fin. Les Radèsiens, eux, ont bien joué avec une variété dans les paniers (débordements, relais et tirs à trois points), mais ont manqué de précision et d’adresse vers la fin. Ce fut un match à rebondissements et à périodes. L’ESS, qui a usé de la défense pressante homme à homme a été remarquable au 1er quart-temps pour l’emporter 23-15. Avec un Makram Ben Romdhane méconnaissable, l’ESS a commis trop de fautes individuelles pour permettre à Abada, Gueddour et Maghrebi de revenir grâce à leur vitesse (19-23, 21-25, 25-30). C’était compter sans les solutions de rechange chez l’ESS : Naddari et Channoufi permetent à leur équipe de terminer la mi-temps 38-34. C’est le moment que les Radésiens ont choisi pour élever la vitesse : Plus frais, ils obligent les étoilés à jouer en périphérie en faisant circuler plus la balle pour remonter au score (39-38, 43-40 et 47-44). Abada, Gueddour, Smaali et Souabni nous ont offert un beau basket collectif au moment où l’ESS a bloqué.
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Le 4e quart-temps était fou. Le compteur avançait lentement point par point et aucune des deux équipes n’a pu s’échapper. L’ESS n’a pu exploiter les 6 points d’avance au niveau de 62-56, alors que l’ESR a raté des balles faciles (sur turnovers) quand elle avait le match en main après son retour 64-64.Tout s’est joué sur des détails : à 69-67 pour l’ESS, l’ESR reconquiert la balle à 10’’ mais prépare mal la position du tir à trois points. On ne vous a pas parlé d’un certain Zyed Channoufi, l’homme de la victoire étoilée. Ce garçon a inscrit 5 tirs à trois points au 4e quart-temps. Un véritable show de la part d’un joueur qui a commis 4 fautes ! Ses paniers ont sauvé l’ESS de la méforme de Gaga et Ben Romdhane. Rendez-vous pour l’acte 2 où l’enjeu sera énorme. L’ESS de Grievel est à une victoire pour conserver son bien. Comme quoi le métier de l’ESS reste son premier atout.
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