CCCOI 2013: Le Real et Hoop en finale
Le Real et Hoop se sont qualifiés pour les finales masculine et féminine respectivement au terme de deux matches à rebondissements, mais qui les ont aussi vu passer par l’état de doute avant de reprendre espoir en toute fin de partie. Mais au final, les deux formations se qualifient pour le dernier match de la compétition après avoir vaincu les Mahorais du TCO 72-70 et les Mahoraises du BCM 45-44.
Si on devait désigner un joueur pour la rencontre Real/TCO, ce serait incontestablement le Mauricien Thierry Julie, auteur des points de l’égalisation et de la victoire du Real. « Pour tirer presque à bout portant et égaliser, il a fallu faire appel à toute l’expérience et toute la concentration possibles », dit le joueur, 32 ans, dont 17 dans le basket-ball.
Pourtant, avant d’arriver au stade du doute, le Real avait déjà pris une option sur la victoire, menant de dix points (16-6), avant de se faire rattraper (16-10, 21-11) avant de conclure la première manche sur cette note. « À bien y voir, je pense que les joueurs étaient trop confiants et même trop relâchés pour cette rencontre », analysait à chaud Neva Vadiveloo, entraîneur du Real, après la victoire sur le fil de son équipe. Mais après, c’est le néant. Le Real ne marque que deux points en cinq minutes, alors que les Mahorais remontent la pente pour se rapprocher à 32-28 à la mi-temps.
Commence une sorte de chassé-croisé entre les deux équipes. C’est à qui marquera, mais qui pratiquera également le jeu le plus rapide. Cette configuration voit le Real s’effondrer face au TCO, qui revient progressivement dans la rencontre (44-43) et mener ensuite (44-45). Malgré toutes les attaques, le Real ne prend jamais plus de trois points d’avance.
Toutefois, en imposant leur rythme au jeu, les Port-Louisiens reprennent le contrôle de la rencontre. (64-56). Mais la machine commence à s’ensabler et les Mahorais reviennent au score (65-66), puis mènent de deux points.
Ensuite, un tir à trois points des Mahorais qui leur donne l’avantage à moins d’une minute de la fin. 70-68 pour le TCM. La tension est à son comble et le Real présente une copie brouillonne de son jeu.
Mais Frédéric Dubois, dans une tentative désespérée, parvient à passer le ballon à Thierry Julie, qui égalise à 70-70. On est alors à 15 secondes du buzzer. Puis, encore quelques phases de jeu où le vainqueur sera désigné par le coup du sort. Une dernière action, à la dernière seconde, Thierry Julie qui tire, le ballon qui touche le cercle, avant d’entrer et tout un public qui se lève. Le Real est en finale.
« Je suis content, mais on voit encore que nous avons tâtonné », lâche Neva Vadiveloo. Il reconnaît également que rien de ce qu’il a essayé n’a fonctionné. « Ni notre meneur ni notre attaque n’ont joué leur rôle. Mais pour la finale il faudra corriger cela. » Pour l’instant, l’adversaire du Real n’est pas encore connu. Il ne devait être désigné qu’après la rencontre ASTUC/TCM ce sortir à 17 heures à Phoenix.
Chez les dames, Hoop s’est aussi offert quelques sueurs froides, avant de venir à bout des courageuses Mahoraises 45-44. « On s’est vraiment fait peur », soulignait Rubin Batterie, après la rencontre. Hoop prend les choses en mains, mais laisse filer trop de ballons et commet des fautes de débutantes. « Ceci explique cela. Nous avons perdu trop de balles, fait trop d’erreurs, laissé passer trop de chances », poursuit le coach rose-hillien.
Après avoir mené 4-0, Christelle Goolam-Hossen et consorts s’emmêlent les pinceaux et courent après le score. Après la première période, elles sont menées de six points (6-12). Mais à la mi-temps, au prix d’un effort et grâce à la maladresse des Mahoraises, elles remontent la pente pour aller en pause à 19-20.
Puis, après la pause, les deux équipes se disputent la tête de la rencontre, avec un écart qui est même monté à sept points (37-30) mais qui sera réduit en fin de partie (45-43). Les tentatives désespérées du BCM n’accoucheront que d’un point, pour un score final de 45-44. « On débute mal, mais on gagne. Je pense qu’il y a eu cette envie de trop bien faire. À vrai dire, on avait mieux joué contre le Tampon », avance Rubi Batterie. Et justement, les Mauriciennes retrouveront à nouveau les Tamponnaises sur leur route samedi à 15h. « On ne se laissera pas marcher sur les pieds », promet-il.
Dans les autres rencontres du jour, les Tamponnaises ont démontré qu’elles étaient quasiment invincibles en dominant Anse Étoile Stars 75-35. Saint Pierre a pour sa part enregistré sa première victoire dans cette CCCOI face aux Seychellois de PLS Hawks 75-73.
Si on devait désigner un joueur pour la rencontre Real/TCO, ce serait incontestablement le Mauricien Thierry Julie, auteur des points de l’égalisation et de la victoire du Real. « Pour tirer presque à bout portant et égaliser, il a fallu faire appel à toute l’expérience et toute la concentration possibles », dit le joueur, 32 ans, dont 17 dans le basket-ball.
Pourtant, avant d’arriver au stade du doute, le Real avait déjà pris une option sur la victoire, menant de dix points (16-6), avant de se faire rattraper (16-10, 21-11) avant de conclure la première manche sur cette note. « À bien y voir, je pense que les joueurs étaient trop confiants et même trop relâchés pour cette rencontre », analysait à chaud Neva Vadiveloo, entraîneur du Real, après la victoire sur le fil de son équipe. Mais après, c’est le néant. Le Real ne marque que deux points en cinq minutes, alors que les Mahorais remontent la pente pour se rapprocher à 32-28 à la mi-temps.
Commence une sorte de chassé-croisé entre les deux équipes. C’est à qui marquera, mais qui pratiquera également le jeu le plus rapide. Cette configuration voit le Real s’effondrer face au TCO, qui revient progressivement dans la rencontre (44-43) et mener ensuite (44-45). Malgré toutes les attaques, le Real ne prend jamais plus de trois points d’avance.
Toutefois, en imposant leur rythme au jeu, les Port-Louisiens reprennent le contrôle de la rencontre. (64-56). Mais la machine commence à s’ensabler et les Mahorais reviennent au score (65-66), puis mènent de deux points.
Ensuite, un tir à trois points des Mahorais qui leur donne l’avantage à moins d’une minute de la fin. 70-68 pour le TCM. La tension est à son comble et le Real présente une copie brouillonne de son jeu.
Mais Frédéric Dubois, dans une tentative désespérée, parvient à passer le ballon à Thierry Julie, qui égalise à 70-70. On est alors à 15 secondes du buzzer. Puis, encore quelques phases de jeu où le vainqueur sera désigné par le coup du sort. Une dernière action, à la dernière seconde, Thierry Julie qui tire, le ballon qui touche le cercle, avant d’entrer et tout un public qui se lève. Le Real est en finale.
« Je suis content, mais on voit encore que nous avons tâtonné », lâche Neva Vadiveloo. Il reconnaît également que rien de ce qu’il a essayé n’a fonctionné. « Ni notre meneur ni notre attaque n’ont joué leur rôle. Mais pour la finale il faudra corriger cela. » Pour l’instant, l’adversaire du Real n’est pas encore connu. Il ne devait être désigné qu’après la rencontre ASTUC/TCM ce sortir à 17 heures à Phoenix.
Chez les dames, Hoop s’est aussi offert quelques sueurs froides, avant de venir à bout des courageuses Mahoraises 45-44. « On s’est vraiment fait peur », soulignait Rubin Batterie, après la rencontre. Hoop prend les choses en mains, mais laisse filer trop de ballons et commet des fautes de débutantes. « Ceci explique cela. Nous avons perdu trop de balles, fait trop d’erreurs, laissé passer trop de chances », poursuit le coach rose-hillien.
Après avoir mené 4-0, Christelle Goolam-Hossen et consorts s’emmêlent les pinceaux et courent après le score. Après la première période, elles sont menées de six points (6-12). Mais à la mi-temps, au prix d’un effort et grâce à la maladresse des Mahoraises, elles remontent la pente pour aller en pause à 19-20.
Puis, après la pause, les deux équipes se disputent la tête de la rencontre, avec un écart qui est même monté à sept points (37-30) mais qui sera réduit en fin de partie (45-43). Les tentatives désespérées du BCM n’accoucheront que d’un point, pour un score final de 45-44. « On débute mal, mais on gagne. Je pense qu’il y a eu cette envie de trop bien faire. À vrai dire, on avait mieux joué contre le Tampon », avance Rubi Batterie. Et justement, les Mauriciennes retrouveront à nouveau les Tamponnaises sur leur route samedi à 15h. « On ne se laissera pas marcher sur les pieds », promet-il.
Dans les autres rencontres du jour, les Tamponnaises ont démontré qu’elles étaient quasiment invincibles en dominant Anse Étoile Stars 75-35. Saint Pierre a pour sa part enregistré sa première victoire dans cette CCCOI face aux Seychellois de PLS Hawks 75-73.
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