CCCOI 2013 : Courageuses Mahoraises, excellents Seychellois
Les deux autres rencontres de la troisième journée de compétition ont livré de belles joutes, avec les Mahoraises de TCM qui ont remporté une victoire d’anthologie face aux Seychelloises d’Anse Étoile Stars et les Seychellois de PLS Hawks qui ont enchaîné avec une deuxième victoire face au Mahorais du TCO.
Dans une rencontre pourtant mal engagée, car menées 15-0, les Mahoraises ont remonté le déficit, jouant un basket-ball propre. Certes, le score est serré à la fin de la rencontre (38-35), mais le mérite revient aux Mahoraises, dont on ne connaissait pas la force.
Par contre, en masculin, les Seychellois de PLS Hawks maintiennent la pression sur les Mauriciens du Real et les Malgaches d’ASTUC. Eux aussi ont livré un match d’exception en voyant fondre sur eux les Mahorais en fin de partie, alors qu’ils avaient une avance de plus de 20 points.
Mais un sursaut d’orgueil des Mahorais, piqués au vif, leur permet de réduire l’écart pour terminer à 97-83. James Joubert, team manager des Hawks, relativise la performance des siens. « Ce n’était pas forcément facile. Comme vous l’avez vu, c’était très physique, mais on a joué. » Cette deuxième victoire en deux sorties donne forcément des envies de finale. « On a joué un peu mieux que nos matches précédents. Mais maintenant, on se concentre sur la suite », conclut-il.
Mauriciens et Seychellois sont en repos aujourd’hui. Par contre, place à un Tampon/BCM du tonnerre à 17h, suivi d’un TCO (Mayotte)/Saint Pierre à 19h au gymnase de Phœnix. On suivra l’évolution des Réunionnais, eux qui ont jusqu’ici joué de malchance et qui ont raté leurs deux sorties.
Par contre, demain, les choses seront plus corsées, puisque Hoop reprend du service face aux Mahoraises du TCM et le Real se retrouvera aux prises avec le TCO. Un faux-pas des deux équipes pourrait nuire à leurs ambitions.
Glanures
Bruyants
Les supporters qui ont fait le déplacement au gymnase de Phœnix pour voir la rencontre Real/ASTUC ont été bruyants. Les Malgaches venus soutenir ASTUC ont souvent donné de la voix, tout comme les Mauriciens venus pour le Real. C’était à qui se ferait entendre. Question bruit, on a vraiment été servis, avec les chants des Malgaches et les “percussions” — contre la paroi métallique du gymnase — des Mauriciens. D’ailleurs, Jean Raelison, entraîneur des Malgaches, mentionne avoir oublié ce détail. « Nous ne pensions pas que le Real aurait un public derrière. C’est vrai que ça peut être impressionnant », rappelle-t-il.
Un tableau d’affichage (presque) défectueux
Le tableau d’affichage du gymnase de Phœnix ne marche pas convenablement. En effet, les fautes techniques ne sont pas affichées sur le cadran, ce qui rend le suivi d’une rencontre assez difficile, surtout pour les coaches qui doivent gérer leurs bancs respectifs.
Chronomètre pas relancé
Plusieurs fois depuis le début de la CCCOI, on a remarqué que les chronométreurs oubliaient de relancer les chronos d’une ou deux secondes. Cet oubli a été cependant répertorié trois ou quatre fois depuis le début du tournoi.
Pas de serpillière
Hier, lors du match Real/ASTUC, un des joueurs malgaches fait une chute. En se relevant, il fait signe à l’arbitre de la rencontre, lui indiquant que le sol est détrempé. Cependant, il n’y avait personne pour passer la serpillière, ce qui a provoqué l’arrêt de la rencontre pendant quelques minutes. Finalement, c’est Gary Toulcanon, joueur des Roche-Bois Warriors et accessoirement arbitre de la FMBB, qui s’est dévoué à la tâche. Il a même été applaudi par le public.
Dans une rencontre pourtant mal engagée, car menées 15-0, les Mahoraises ont remonté le déficit, jouant un basket-ball propre. Certes, le score est serré à la fin de la rencontre (38-35), mais le mérite revient aux Mahoraises, dont on ne connaissait pas la force.
Par contre, en masculin, les Seychellois de PLS Hawks maintiennent la pression sur les Mauriciens du Real et les Malgaches d’ASTUC. Eux aussi ont livré un match d’exception en voyant fondre sur eux les Mahorais en fin de partie, alors qu’ils avaient une avance de plus de 20 points.
Mais un sursaut d’orgueil des Mahorais, piqués au vif, leur permet de réduire l’écart pour terminer à 97-83. James Joubert, team manager des Hawks, relativise la performance des siens. « Ce n’était pas forcément facile. Comme vous l’avez vu, c’était très physique, mais on a joué. » Cette deuxième victoire en deux sorties donne forcément des envies de finale. « On a joué un peu mieux que nos matches précédents. Mais maintenant, on se concentre sur la suite », conclut-il.
Mauriciens et Seychellois sont en repos aujourd’hui. Par contre, place à un Tampon/BCM du tonnerre à 17h, suivi d’un TCO (Mayotte)/Saint Pierre à 19h au gymnase de Phœnix. On suivra l’évolution des Réunionnais, eux qui ont jusqu’ici joué de malchance et qui ont raté leurs deux sorties.
Par contre, demain, les choses seront plus corsées, puisque Hoop reprend du service face aux Mahoraises du TCM et le Real se retrouvera aux prises avec le TCO. Un faux-pas des deux équipes pourrait nuire à leurs ambitions.
Glanures
Bruyants
Les supporters qui ont fait le déplacement au gymnase de Phœnix pour voir la rencontre Real/ASTUC ont été bruyants. Les Malgaches venus soutenir ASTUC ont souvent donné de la voix, tout comme les Mauriciens venus pour le Real. C’était à qui se ferait entendre. Question bruit, on a vraiment été servis, avec les chants des Malgaches et les “percussions” — contre la paroi métallique du gymnase — des Mauriciens. D’ailleurs, Jean Raelison, entraîneur des Malgaches, mentionne avoir oublié ce détail. « Nous ne pensions pas que le Real aurait un public derrière. C’est vrai que ça peut être impressionnant », rappelle-t-il.
Un tableau d’affichage (presque) défectueux
Le tableau d’affichage du gymnase de Phœnix ne marche pas convenablement. En effet, les fautes techniques ne sont pas affichées sur le cadran, ce qui rend le suivi d’une rencontre assez difficile, surtout pour les coaches qui doivent gérer leurs bancs respectifs.
Chronomètre pas relancé
Plusieurs fois depuis le début de la CCCOI, on a remarqué que les chronométreurs oubliaient de relancer les chronos d’une ou deux secondes. Cet oubli a été cependant répertorié trois ou quatre fois depuis le début du tournoi.
Pas de serpillière
Hier, lors du match Real/ASTUC, un des joueurs malgaches fait une chute. En se relevant, il fait signe à l’arbitre de la rencontre, lui indiquant que le sol est détrempé. Cependant, il n’y avait personne pour passer la serpillière, ce qui a provoqué l’arrêt de la rencontre pendant quelques minutes. Finalement, c’est Gary Toulcanon, joueur des Roche-Bois Warriors et accessoirement arbitre de la FMBB, qui s’est dévoué à la tâche. Il a même été applaudi par le public.
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