REUNION : Qui avec Le Tampon ?
Poule des as
Aujourd’hui à 18h30
Saint-Pierre BB - CS Portois
Tamponnaise BB - CO Montagne
CHALLENGE
BCD 1 - BCD 2Champ-Fleuri
BC Saint-Leu - CS Portois 2
Exempt : Saint-Joseph
Qui accompagnera les Tamponnaises et Lise Sinacouty en finale ? (Photo archives/SLY)
Voilà qui laisse un grand vide. Après l’élimination du BCD - encore contestée par ses dirigeants (voir par ailleurs) et regrettée par tous les membres de cette poule des As - que l’on attendait en finale face au Tampon, les cartes sont rebattues. Reste à savoir si cette nouvelle donne touche aussi les triple championnes en titre, désormais invaincues depuis un an et demi. De l’avis unanime de ses concurrents, non. Avec une quinte flush dans sa main, Marc Risacher peut voir venir. Pour l’entraîneur des triple championnes en titre, "le plus dur sera de garder les pieds sur terre et de maintenir la pression. À nous de rester sérieux". On en doute pas trop vu l’implication de ses joueuses et son travail méticuleux. Par contre, là où se pose une grosse inconnue, c’est sur le nom de l’adversaire qui tentera l’impossible face aux Tamponnaises en finale. "Tout le monde en est capable, estime Victor Carlot, l’entraîneur portois. La Montagne a battu les Aiglons, nous n’avons battu Saint-Pierre que de 4 points comme les Aiglons. Tout est possible".
Ce qui a le mérite de motiver les Montagnardes et d’ouvrir de nouvelles perspectives à tout le monde. "Les filles sont surmotivées, rapporte leur entraîneur John Thibout, qui s’est renforcé en fin de poule de brassage. Elles pensent toutes à ça. Saint-Pierre me semble un peu en dessous, Le Port est costaud et les Aiglons se sont bien reconstruits". "On sait ce que l’on veut, affirme Alain Joliman, le technicien saint-pierrois. Il faut faire du mieux possible et éviter Le Tampon en demi-finale". Autrement dit, finir au moins 3e, une place de 4e semblant effectivement quasi honorifique face à l’ogre tamponnais. Les Saint-Pierroises pourront compter sur le retour de métropole de Christelle Pérenedery pour remplir leurs desseins. "On ne fait plus du basket de loisir mais de compétition", enfonce Alain Joliman.
Une notion qu’a bien intégré depuis un moment Laetitia Marguin, qui a repris cette saison les Aiglons en mains. "Dans l’envie des joueuses, l’absence du BCD a déclenché quelque chose, relève-t-elle. L’équipe, qui est expérimentée et dont certaines veulent arrêter à la fin de la saison, se disent que c’est l’année ou jamais" pour aller chercher une finale. Une course serrée qui se jouera "au mental, conclut Laetitia Marguin. Ce sera à celles qui auront le moins peur de gagner". Car tout le monde sait qu’en finale, se dressera Le Tampon.
Une notion qu’a bien intégré depuis un moment Laetitia Marguin, qui a repris cette saison les Aiglons en mains. "Dans l’envie des joueuses, l’absence du BCD a déclenché quelque chose, relève-t-elle. L’équipe, qui est expérimentée et dont certaines veulent arrêter à la fin de la saison, se disent que c’est l’année ou jamais" pour aller chercher une finale. Une course serrée qui se jouera "au mental, conclut Laetitia Marguin. Ce sera à celles qui auront le moins peur de gagner". Car tout le monde sait qu’en finale, se dressera Le Tampon.
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