CCCOI : Dames, Le réalisme tamponnais
Le Tampon BB a remporté, samedi, la première CCCOI de son histoire en dominant BBRH-Hoop dans la finale féminine. Les protégées de Marc Risacher ont offert une petite leçon de réalisme froid et de basket-ball pour soulever le trophée.
81-33 : le score est similaire, à deux points près, de celui de la rencontre qui avait opposé quelques jours auparavant les deux équipes. Sauf que le public qui avait fait le déplacement au gymnase de Phoenix espérait voir une tout autre prestation.
Dans une rencontre que les Tamponnaises ont maîtrisée de bout en bout, Hoop a tardé à prendre ses marques. 11-3 puis 19-3, avant de finir le premier quart sur ce score. L’équipe mauricienne est passée tout à côté de ce premier quart, laissant le champ libre à Sheryl Maledon et ses coéquipières pour marquer.
Profitant de son adresse, cette dernière inscrit neuf points à elle seule. Faisant tourner son effectif, Marc Risacher n’a donc pas eu à forcer ses protégées pour aller remporter une rencontre qui lui semblait promise. « Il y a de quoi être content. Nous avons joué presque tous les jours et malgré la fatigue, on est arrivés à sortir un jeu comme ça », commentait-il après la rencontre.
La domination réunionnaise s’étendait pendant le match, si bien qu’à la mi-temps le score était de 40-13. Dès lors, la rencontre semblait pliée. « Nous avons vraiment eu un problème de finition. Nous avons raté énormément de tirs », lâchait Rubin Batterie, entraîneur de Hoop. « A-t-on manqué de fraîcheur physique ? A-t-on manqué de concentration ? C’est sûr qu’il faudra s’asseoir pour trouver les failles. »
De retour de la pause, le festival réunionnais reprenait. Si ce n’était les quelques succès de Corinne Marguerite et de Corinne Somauroo, le score aurait été plus lourd. Hoop se rebiffe quelque peu dans la troisième tranche. À la fin de ces 10 minutes, qui ressemblaient plus à une heure, le score était de 59-20.
Les choses évolueront peu pour Hoop, avec 13 points marqués dans la dernière tranche. Au coup de buzzer final, le tableau affichait 81-33. « Le succès de l’équipe s’est bâti sur la cohésion qui existe sur et en dehors du terrain. Pourtant, Hoop n’est pas dépourvu de moyens. Elles ont joué avec le coeur et ont démontré de belles qualités physiques », explique Marc Risacher.
Du côté de Hoop, il y a forcément un peu de déception après cette finale perdue. « Les joueuses du Tampon sont grandes, c’est l’une des raisons. Mais il faut aussi analyser la défaite et trouver comment corriger ces petites erreurs », poursuit Rubin Batterie.
Cependant, Hoop quitte la compétition avec la satisfaction d’avoir atteint son objectif. « Au final, on est médaillés d’argent. On voulait être en finale, on l’a fait. Maintenant, nous allons travailler sur un plan pour relancer les choses afin que nous puissions évoluer tout au moins au même niveau que les Réunionnaises », conclut Rubin Batterie.
81-33 : le score est similaire, à deux points près, de celui de la rencontre qui avait opposé quelques jours auparavant les deux équipes. Sauf que le public qui avait fait le déplacement au gymnase de Phoenix espérait voir une tout autre prestation.
Dans une rencontre que les Tamponnaises ont maîtrisée de bout en bout, Hoop a tardé à prendre ses marques. 11-3 puis 19-3, avant de finir le premier quart sur ce score. L’équipe mauricienne est passée tout à côté de ce premier quart, laissant le champ libre à Sheryl Maledon et ses coéquipières pour marquer.
Profitant de son adresse, cette dernière inscrit neuf points à elle seule. Faisant tourner son effectif, Marc Risacher n’a donc pas eu à forcer ses protégées pour aller remporter une rencontre qui lui semblait promise. « Il y a de quoi être content. Nous avons joué presque tous les jours et malgré la fatigue, on est arrivés à sortir un jeu comme ça », commentait-il après la rencontre.
La domination réunionnaise s’étendait pendant le match, si bien qu’à la mi-temps le score était de 40-13. Dès lors, la rencontre semblait pliée. « Nous avons vraiment eu un problème de finition. Nous avons raté énormément de tirs », lâchait Rubin Batterie, entraîneur de Hoop. « A-t-on manqué de fraîcheur physique ? A-t-on manqué de concentration ? C’est sûr qu’il faudra s’asseoir pour trouver les failles. »
De retour de la pause, le festival réunionnais reprenait. Si ce n’était les quelques succès de Corinne Marguerite et de Corinne Somauroo, le score aurait été plus lourd. Hoop se rebiffe quelque peu dans la troisième tranche. À la fin de ces 10 minutes, qui ressemblaient plus à une heure, le score était de 59-20.
Les choses évolueront peu pour Hoop, avec 13 points marqués dans la dernière tranche. Au coup de buzzer final, le tableau affichait 81-33. « Le succès de l’équipe s’est bâti sur la cohésion qui existe sur et en dehors du terrain. Pourtant, Hoop n’est pas dépourvu de moyens. Elles ont joué avec le coeur et ont démontré de belles qualités physiques », explique Marc Risacher.
Du côté de Hoop, il y a forcément un peu de déception après cette finale perdue. « Les joueuses du Tampon sont grandes, c’est l’une des raisons. Mais il faut aussi analyser la défaite et trouver comment corriger ces petites erreurs », poursuit Rubin Batterie.
Cependant, Hoop quitte la compétition avec la satisfaction d’avoir atteint son objectif. « Au final, on est médaillés d’argent. On voulait être en finale, on l’a fait. Maintenant, nous allons travailler sur un plan pour relancer les choses afin que nous puissions évoluer tout au moins au même niveau que les Réunionnaises », conclut Rubin Batterie.
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