ILE MAURICE : SUPER LEAGUE 2013 (8E JOURNÉE): L’ASVP reçue cinq sur cinq
Cinq victoires en cinq sorties : les basketteurs de l’ASVP ont remporté, mardi, leur match contre l’École de Basket de Cassis (86-68) comptant pour la huitième journée de la Super League au gymnase Palmerstone. Une rencontre « virile », selon le coach vacoassien, Angelo Pampusa, pour une victoire sans coup férir des siens face à un adversaire de force égale, mais qui a péché psychologiquement dans le jeu.
Dès le coup d’envoi, l’ASVP prend un départ canon. « Nous avons été devant. Cassis a bien tenté de revenir, mais nous avons adapté notre jeu en conséquence », avance Angelo Pampusa. A priori, les deux équipes avaient les arguments pour remporter la rencontre. Sauf que d’un côté comme de l’autre il y a eu ce qu’on pourrait appeler l’effet Steward Clémentine.
Depuis le retour du rebondeur vacoassien, l’ASVP semble entrée dans une période de succès. « Sa présence a apporté un nouveau dynamisme au sein de l’équipe. Et ça se ressent sur le terrain », explique le coach. Et le rebondeur le montre assez bien sur le terrain. « Il se lance dans la bataille, il distribue des ballons, il est présent dans l’attaque. » Ce qui, du coup, libère ses camarades de la pression. « Il est marqué par deux joueurs. Donc, il y a toujours un autre qui est libre », souligne le technicien.
Et c’est ce qui s’est passé mardi contre Cassis. Les Port-Louisiens ont bien essayé de recoller au score, mais l’ASVP s’était déjà mise en tête que le succès serait de son côté. Pratiquant un jeu posé, basé sur une grande mobilité, l’ASVP est transcendée. « On est plus confiants, on ne lâche plus rien maintenant. Avant, avec dix points de retard, on se laissait aller. Maintenant, même avec dix points d’avance, on fonce toujours dans le tas. »
Justement, cette stratégie devrait servir à l’équipe lors de sa prochaine sortie contre le Real, mardi prochain, dans l’antre des Vacoassiens à Palmerstone. « On verra bien », lâche-t-il laconiquement. Mais avant cela, il faudra recadrer les joueurs, histoire de ne pas se laisser impressionner par l’adversaire. « Ce sera le vrai test pour nous. Tout ce qu’on a appris, tout ce qu’on a fait cette saison, c’est le moment de le montrer », avoue Angelo Pampusa. Surtout que le Real est invaincu et qu’il est le favori. « Nous, on veut seulement concrétiser ce qu’on a fait jusqu’ici. La présence de Steward Clémentine est telle que les choses ont beaucoup changé depuis qu’il est là. »
Pas sûr, cependant, que le Real soit un os facile à digérer. D’autant que les champions de Maurice ont à cœur de rester au contact d’Attila, court leader de la Super League. « Ce n’est pas évident de prédire un score, ou même de dire que telle ou telle équipe va gagner ou perdre. Le basket est ce qu’il est. Mais nous, on aimerait bien faire jeu égal avec le Real. »
Depuis quelque temps, il semblerait que tout sourit à l’ASVP. « Si toutes les conditions nécessaires sont réunies, oui, nous pourrons tenter de faire jeu égal avec le Real. Il ne faut surtout pas que les joueurs se laissent impressionner par le nom. » Mais la formule pourrait aussi se retrouver ailleurs. La chance ne suffira pas, prévient Angelo Pampusa. « Si les joueurs ont un comportement exemplaire face à l’adversaire, face au coach et à jeu, on pourra faire quelque chose. »
Dès le coup d’envoi, l’ASVP prend un départ canon. « Nous avons été devant. Cassis a bien tenté de revenir, mais nous avons adapté notre jeu en conséquence », avance Angelo Pampusa. A priori, les deux équipes avaient les arguments pour remporter la rencontre. Sauf que d’un côté comme de l’autre il y a eu ce qu’on pourrait appeler l’effet Steward Clémentine.
Depuis le retour du rebondeur vacoassien, l’ASVP semble entrée dans une période de succès. « Sa présence a apporté un nouveau dynamisme au sein de l’équipe. Et ça se ressent sur le terrain », explique le coach. Et le rebondeur le montre assez bien sur le terrain. « Il se lance dans la bataille, il distribue des ballons, il est présent dans l’attaque. » Ce qui, du coup, libère ses camarades de la pression. « Il est marqué par deux joueurs. Donc, il y a toujours un autre qui est libre », souligne le technicien.
Et c’est ce qui s’est passé mardi contre Cassis. Les Port-Louisiens ont bien essayé de recoller au score, mais l’ASVP s’était déjà mise en tête que le succès serait de son côté. Pratiquant un jeu posé, basé sur une grande mobilité, l’ASVP est transcendée. « On est plus confiants, on ne lâche plus rien maintenant. Avant, avec dix points de retard, on se laissait aller. Maintenant, même avec dix points d’avance, on fonce toujours dans le tas. »
Justement, cette stratégie devrait servir à l’équipe lors de sa prochaine sortie contre le Real, mardi prochain, dans l’antre des Vacoassiens à Palmerstone. « On verra bien », lâche-t-il laconiquement. Mais avant cela, il faudra recadrer les joueurs, histoire de ne pas se laisser impressionner par l’adversaire. « Ce sera le vrai test pour nous. Tout ce qu’on a appris, tout ce qu’on a fait cette saison, c’est le moment de le montrer », avoue Angelo Pampusa. Surtout que le Real est invaincu et qu’il est le favori. « Nous, on veut seulement concrétiser ce qu’on a fait jusqu’ici. La présence de Steward Clémentine est telle que les choses ont beaucoup changé depuis qu’il est là. »
Pas sûr, cependant, que le Real soit un os facile à digérer. D’autant que les champions de Maurice ont à cœur de rester au contact d’Attila, court leader de la Super League. « Ce n’est pas évident de prédire un score, ou même de dire que telle ou telle équipe va gagner ou perdre. Le basket est ce qu’il est. Mais nous, on aimerait bien faire jeu égal avec le Real. »
Depuis quelque temps, il semblerait que tout sourit à l’ASVP. « Si toutes les conditions nécessaires sont réunies, oui, nous pourrons tenter de faire jeu égal avec le Real. Il ne faut surtout pas que les joueurs se laissent impressionner par le nom. » Mais la formule pourrait aussi se retrouver ailleurs. La chance ne suffira pas, prévient Angelo Pampusa. « Si les joueurs ont un comportement exemplaire face à l’adversaire, face au coach et à jeu, on pourra faire quelque chose. »
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