TUNISIE : Finale du super play-off — ESS-ESR (15h30)
Ça va être ouvert!
L’ESS mène 1-0, mais rien n’est encore acquis. Titre pour l’ESS ou belle à Radès ?
Sousse abritera cet après-midi l’acte II de la finale du super play-off. On est à 1-0 à l’avantage de l’ESSahel qui a battu l’ESR à l’aller à Radès-même. La donne est très simple: si l’ESS gagne encore une fois, elle conserve son titre de champion acquis en 2012. Si l’ESR l’emporte, elle ramène la finale à Radès pour un match d’appui. Ça va être un match à fort enjeu où tous les scénarios sont envisageables. Match terminé en 40’, prolongations, etc., c’est également la fête du championnat entre les deux meilleures équipes du championnat. Ce qui nous intéresse, c’est un match propre où tout ira bien. Le match de Radès a été quasi irréprochable. On espère que celui de cet après-midi le sera également.
N. Hattab : «Retrouver notre jeu intérieur…»
L’ESSahel a un avantage par rapport à l’ESR : l’expérience des finales. Elle l’a montré à l’aller avec un savoir-gérer digne des équipes à tradition. Ascendant déterminant ? Nabil Hattab, directeur technique, analyse l’avant-match : «Nous avons essayé de remobiliser le groupe pour éviter le relâchement d’après-victoire. Ce qui compte, c’est que nous avons gagné à Radès et que nous sommes à une victoire du titre. Nous allons essayer de retrouver notre jeu intérieur et nos pivots, timides à l’aller. Tout en étouffant les ailiers de l’ESR par une défense pesante. On compte beaucoup sur notre public pour nous motiver. Nous sommes calmes et même s’il y a un peu de trac, ça va disparaître après l’entre-deux du début de match».
M. Oune : «Ça dépendra de nous…»
Dans le camp radésien, on essayera de remonter le résultat de l’aller : «Ça dépendra toujours de nous. Je ne pense pas qu’il y a grand-chose à changer pour le retour : défense agressive, jeu rapide, contres, transition et mobilité constante. Il ne faut pas se précipiter et rater des balles faciles comme à l’aller. Si on doit relancer par des contres, on doit être rapide et incisif. Si l’on doit poser le jeu, on devra le faire intelligemment. Nous avons une pression, mais nous la prenons du bon côté. Ce que nous avons fait jusqu’ici est très bon : l’ESR est redevenue une équipe qui joue pour le titre. Mon équipe a les moyens de ramener une victoire de Sousse», nous a dit Monem Oune.
Gaga et Abada
Y aura-t-il un héros du match comme le fut Channoufi à l’aller ? On préfère parler de deux joueurs clés: Gaga et Amor Abada. Le premier porte l’ESS sur ses épaules. «Pour un joueur qui a évolué à Panathinaïkos, il ne peut que donner un apport certain. Il a une énorme technique qui lui permet de lire le jeu et de donner des «assists» précieux. On peut compter sur lui, d’autant qu’il a progressé en défense. Gaga, adroit et décisif dans les derniers moments du match, est un atout étoilé…», comme le dit N. Hattab.
Amor Abada est un jeune organisateur qui a pris de l’importance dans le jeu de l’ESRadès. M. Oune parle de lui: «C’est un créateur qui joue les postes 1 et 2. C’est déjà un grand point à son actif. Ses progrès sont énormes cette année avec un esprit de compétition et une grande disponibilité dans les entraînements. L’avenir lui appartient à Radès et en sélection. Je pense que Abada peut être d’un grand apport cet après-midi s’il évite la précipitation et la prise de risque».
Quelques moments avant le coup d’envoi du match, voilà deux équipes super-motivées. La mission de l’ESR paraît plus difficile, mais elle a tout pour obtenir une victoire en déplacement. Quant à l’ESS, c’est un concentré d’expérience. Une équipe mature ayant beaucoup de qualités tactiques et mentales. On verra de tout dans cette finale : des tirs à trois points, des fautes individuelles, des options offensives, des variétés de défenses, des bêtises, des prouesses et probablement une fin palpitante. Faites vos jeux !
Sousse abritera cet après-midi l’acte II de la finale du super play-off. On est à 1-0 à l’avantage de l’ESSahel qui a battu l’ESR à l’aller à Radès-même. La donne est très simple: si l’ESS gagne encore une fois, elle conserve son titre de champion acquis en 2012. Si l’ESR l’emporte, elle ramène la finale à Radès pour un match d’appui. Ça va être un match à fort enjeu où tous les scénarios sont envisageables. Match terminé en 40’, prolongations, etc., c’est également la fête du championnat entre les deux meilleures équipes du championnat. Ce qui nous intéresse, c’est un match propre où tout ira bien. Le match de Radès a été quasi irréprochable. On espère que celui de cet après-midi le sera également.
N. Hattab : «Retrouver notre jeu intérieur…»
L’ESSahel a un avantage par rapport à l’ESR : l’expérience des finales. Elle l’a montré à l’aller avec un savoir-gérer digne des équipes à tradition. Ascendant déterminant ? Nabil Hattab, directeur technique, analyse l’avant-match : «Nous avons essayé de remobiliser le groupe pour éviter le relâchement d’après-victoire. Ce qui compte, c’est que nous avons gagné à Radès et que nous sommes à une victoire du titre. Nous allons essayer de retrouver notre jeu intérieur et nos pivots, timides à l’aller. Tout en étouffant les ailiers de l’ESR par une défense pesante. On compte beaucoup sur notre public pour nous motiver. Nous sommes calmes et même s’il y a un peu de trac, ça va disparaître après l’entre-deux du début de match».
M. Oune : «Ça dépendra de nous…»
Dans le camp radésien, on essayera de remonter le résultat de l’aller : «Ça dépendra toujours de nous. Je ne pense pas qu’il y a grand-chose à changer pour le retour : défense agressive, jeu rapide, contres, transition et mobilité constante. Il ne faut pas se précipiter et rater des balles faciles comme à l’aller. Si on doit relancer par des contres, on doit être rapide et incisif. Si l’on doit poser le jeu, on devra le faire intelligemment. Nous avons une pression, mais nous la prenons du bon côté. Ce que nous avons fait jusqu’ici est très bon : l’ESR est redevenue une équipe qui joue pour le titre. Mon équipe a les moyens de ramener une victoire de Sousse», nous a dit Monem Oune.
Gaga et Abada
Y aura-t-il un héros du match comme le fut Channoufi à l’aller ? On préfère parler de deux joueurs clés: Gaga et Amor Abada. Le premier porte l’ESS sur ses épaules. «Pour un joueur qui a évolué à Panathinaïkos, il ne peut que donner un apport certain. Il a une énorme technique qui lui permet de lire le jeu et de donner des «assists» précieux. On peut compter sur lui, d’autant qu’il a progressé en défense. Gaga, adroit et décisif dans les derniers moments du match, est un atout étoilé…», comme le dit N. Hattab.
Amor Abada est un jeune organisateur qui a pris de l’importance dans le jeu de l’ESRadès. M. Oune parle de lui: «C’est un créateur qui joue les postes 1 et 2. C’est déjà un grand point à son actif. Ses progrès sont énormes cette année avec un esprit de compétition et une grande disponibilité dans les entraînements. L’avenir lui appartient à Radès et en sélection. Je pense que Abada peut être d’un grand apport cet après-midi s’il évite la précipitation et la prise de risque».
Quelques moments avant le coup d’envoi du match, voilà deux équipes super-motivées. La mission de l’ESR paraît plus difficile, mais elle a tout pour obtenir une victoire en déplacement. Quant à l’ESS, c’est un concentré d’expérience. Une équipe mature ayant beaucoup de qualités tactiques et mentales. On verra de tout dans cette finale : des tirs à trois points, des fautes individuelles, des options offensives, des variétés de défenses, des bêtises, des prouesses et probablement une fin palpitante. Faites vos jeux !
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