ILE MAURICE : COUPE DE LA RÉPUBLIQUE: Real, Roche-Bois et Hoop s’offrent leur billet
La Coupe de la République a continué hier avec les demi-finales masculines et la première rencontre féminine. Les filles de Hoop affrontaient les Malherbes Harlems en ouverture au gymnase de Phoenix. S'en est suivi un Real/EDB Cassis qui a quelque peu laissé le public sur sa faim, puis un Roche Bois Warriors/Attila qui a tenu ses promesses. Tout un programme, entre réalisme froid et l'à-peu-près de certaines rencontre, la journée de dimanche a vu les favoris passer sans problème.
En lever de rideau, la rencontre Hoop/Malherbes Harlems aurait pu tenir toutes ses promesses. Mais les Curepipiennes, après un début de rencontre fort encourageant, ont sombré dans une certaine approximation. Pourtant, Hoop a bien douté en tout début de rencontre face à des Curepipiennes qui ont joué crânement leur chance. Mais devant le panier, l'adresse a fait cruellement défaut.
Pourtant, Clarel Soucient, l'entraîneur des Harlems, ne voit aucun motif de déception. « C'est une équipe en construction. Nous avons aligné les joueuses pour qu'elles aient du temps de jeu. » À l'arrivée, le score de 57-24 pour les Rose-Hilliennes reflète justement la physionomie du match. Des joueuses un peu crispées des deux côtés, quelques ratés à corriger : les deux entraîneurs s'accordent à dire qu'il y a quelque chose qui n'a pas fonctionné.
« Nous avons manqué beaucoup de paniers faciles. En même temps, nous avons essayé de mettre sur pied de nouvelles choses, ce qui explique que les joueuses étaient crispées », explique Rubin Batterie, entraîneur de Hoop. Samedi prochain, les deux équipes se croiseront à nouveau pour la finale. « Pendant la semaine, nous reverrons les petites choses qui n'ont pas fonctionné », promet-il. Même son de cloche du côté de Malherbes. « L'équipe est jeune, moins de 25 ans de moyenne d'âge. Nous travaillerons pour les aider à progresser », avance Clarel Soucient.
Chez les messieurs, les deux demi-finales ont répondu aux attentes. En entrée, le Real affrontait l'EDB Cassis. Une victoire sans trop de bavures du tenant du trophée (73-50), d'autant que les Port-Louisiens sont sur une bonne dynamique.
D'ailleurs, c'est le Real qui commence fort. Premier quart-temps, le break est déjà fait, les Verts menant 27-11. « Ils ont été agressifs, avec une bonne défense. Puis, de notre côté, nous avons manqué pas mal de tirs », analysait, à chaud, Clency Pragassa, entraîneur de Cassis.
Avec une défense axée autour de Mohamed, le Real prenait le match à son compte, endiguant rapidement les attaques et repartant de l'avant avec un jeu plus fluide. « J'ai fait comprendre aux joueurs que nous devions rester concentrés. Les résultats sont là », souligne de son côté Neva Vadiveloo, mentor du Real.
Si la domination des Verts se concrétise au deuxième quart, avec 16 points marqués et seulement 9 pris, par contre, ce réalisme laisse la place à une certaine approximation. « Nous nous sommes relâchés et avons fait des fautes indignes de notre niveau. Nous retravaillerons sur ces aspects lors de nos entraînements », poursuit Neva Vadiveloo.
Mais le réveil de Cassis ne durera que pendant ce troisième quart. Les dernières dix minutes montrent les deux équipes s'échangeant coup pour coup. Mais l'avance du Real était tellement grande que la rencontre était pliée. « Ce n'est qu'au troisième quart-temps que nous avons réagi. Nous avons même fait jeu égal avec le Real. Et puis, nous n'avions pas notre effectif complet », admet Clency Pragassa.
Quant à Neva Vadiveloo, il savoure le moment, d'autant qu'il récupérera dans quelque temps l'un de ses cadres. « J'ai pu faire tourner le banc et les joueurs ont été appliqués. J'espère revoir le même état d'esprit samedi prochain. »
Le Real affrontera les Roche Bois Warriors, tombeurs d'Attila hier soir sur le score de 45-42. Un score étriqué, que salue cependant Nicolas Duval, l'entraîneur d'Attila. « Je salue l'adversaire, qui nous a permis de livrer un beau combat. Nous voyons qu'il n'y a pas de grande ni de petite équipe », conclut Nicolas Duval.
La finale, samedi prochain au gymnase de Phœnix, sera donc un remake de l'année dernière, entre le Real et Roche-Bois, qui s'affronteront pour la troisième fois.
En lever de rideau, la rencontre Hoop/Malherbes Harlems aurait pu tenir toutes ses promesses. Mais les Curepipiennes, après un début de rencontre fort encourageant, ont sombré dans une certaine approximation. Pourtant, Hoop a bien douté en tout début de rencontre face à des Curepipiennes qui ont joué crânement leur chance. Mais devant le panier, l'adresse a fait cruellement défaut.
Pourtant, Clarel Soucient, l'entraîneur des Harlems, ne voit aucun motif de déception. « C'est une équipe en construction. Nous avons aligné les joueuses pour qu'elles aient du temps de jeu. » À l'arrivée, le score de 57-24 pour les Rose-Hilliennes reflète justement la physionomie du match. Des joueuses un peu crispées des deux côtés, quelques ratés à corriger : les deux entraîneurs s'accordent à dire qu'il y a quelque chose qui n'a pas fonctionné.
« Nous avons manqué beaucoup de paniers faciles. En même temps, nous avons essayé de mettre sur pied de nouvelles choses, ce qui explique que les joueuses étaient crispées », explique Rubin Batterie, entraîneur de Hoop. Samedi prochain, les deux équipes se croiseront à nouveau pour la finale. « Pendant la semaine, nous reverrons les petites choses qui n'ont pas fonctionné », promet-il. Même son de cloche du côté de Malherbes. « L'équipe est jeune, moins de 25 ans de moyenne d'âge. Nous travaillerons pour les aider à progresser », avance Clarel Soucient.
Chez les messieurs, les deux demi-finales ont répondu aux attentes. En entrée, le Real affrontait l'EDB Cassis. Une victoire sans trop de bavures du tenant du trophée (73-50), d'autant que les Port-Louisiens sont sur une bonne dynamique.
D'ailleurs, c'est le Real qui commence fort. Premier quart-temps, le break est déjà fait, les Verts menant 27-11. « Ils ont été agressifs, avec une bonne défense. Puis, de notre côté, nous avons manqué pas mal de tirs », analysait, à chaud, Clency Pragassa, entraîneur de Cassis.
Avec une défense axée autour de Mohamed, le Real prenait le match à son compte, endiguant rapidement les attaques et repartant de l'avant avec un jeu plus fluide. « J'ai fait comprendre aux joueurs que nous devions rester concentrés. Les résultats sont là », souligne de son côté Neva Vadiveloo, mentor du Real.
Si la domination des Verts se concrétise au deuxième quart, avec 16 points marqués et seulement 9 pris, par contre, ce réalisme laisse la place à une certaine approximation. « Nous nous sommes relâchés et avons fait des fautes indignes de notre niveau. Nous retravaillerons sur ces aspects lors de nos entraînements », poursuit Neva Vadiveloo.
Mais le réveil de Cassis ne durera que pendant ce troisième quart. Les dernières dix minutes montrent les deux équipes s'échangeant coup pour coup. Mais l'avance du Real était tellement grande que la rencontre était pliée. « Ce n'est qu'au troisième quart-temps que nous avons réagi. Nous avons même fait jeu égal avec le Real. Et puis, nous n'avions pas notre effectif complet », admet Clency Pragassa.
Quant à Neva Vadiveloo, il savoure le moment, d'autant qu'il récupérera dans quelque temps l'un de ses cadres. « J'ai pu faire tourner le banc et les joueurs ont été appliqués. J'espère revoir le même état d'esprit samedi prochain. »
Le Real affrontera les Roche Bois Warriors, tombeurs d'Attila hier soir sur le score de 45-42. Un score étriqué, que salue cependant Nicolas Duval, l'entraîneur d'Attila. « Je salue l'adversaire, qui nous a permis de livrer un beau combat. Nous voyons qu'il n'y a pas de grande ni de petite équipe », conclut Nicolas Duval.
La finale, samedi prochain au gymnase de Phœnix, sera donc un remake de l'année dernière, entre le Real et Roche-Bois, qui s'affronteront pour la troisième fois.
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