CCCOI 2013 : Real, Hoop et ASTUC montrent la voie
Les deux équipes mauriciennes engagées dans la Coupe des Clubs Champions de l’océan Indien 2013 ainsi que les Malgaches d’ASTUC ont démarré victorieusement leur campagne indianocéanique, hier au gymnase de Phœnix. Leurs victimes, Saint Pierre, Anse Étoile Stars et PLS Hawks. Trois rencontres, trois styles de jeu, trois histoires à raconter.
Real : pour un point de plus
Le Real de Port-Louis a débuté sa campagne sur la meilleure note, même si le doute a souvent eu droit de cité dans les conversations entre le coach Neva Vadiveloo et ses ouailles. 66-65 pour les Port-Louisiens face aux Saint-Pierrois : score étriqué à souhait au vu de la rencontre, elle aussi très disputée. Mais l’important est d’avoir triomphé.
Dans une rencontre que chacune des deux équipes voulait marquer de son empreinte, ce sont bien les Port-Louisiens qui scorent les premiers. Rapidement, le score passe à 8-4 en faveur du Real. Mais vers le milieu du premier quart-temps, il se fait rattraper (10-9).
Ce petit réveil des Réunionnais laisse place à une période de doute, puisqu’ils se font distancer (17-10) avant de recoller.
Neva Vadiveloo, qui a effectué le recrutement du Nigérian Ugbage Ajodah, devait tester sa nouvelle perle. Il n’a pas eu tort. Ce dernier a souvent sorti le Real de situations délicates, marquant tout en finesse et se retrouvant même avec le meilleur pointage (13 points).
Au premier quart-temps, le Real mène 23-18. « Dans l’ensemble, je suis satisfait des joueurs. Il y a bien quelques petits réglages, mais tout a fonctionné. » Au deuxième quart-temps, les Saint-Pierrois ne parviennent toujours pas à prendre l’avantage. Mais toujours est-il qu’ils affichent une combativité exemplaire. Et leurs efforts sont récompensés. À la pause, ils mènent de deux points (37-35).
Les choses sont donc bel et bien engagées pour les deux équipes, et c’est à qui profitera de la première brèche ouverte.
Retour de pause, et passés les rounds d’observation, les deux formations croisent à nouveau le fer. Un lancer à trois points de Frédéric Dubois permet au Real de reprendre la tête et sonne la charge.
Les choses évoluent positivement pour les Port-Louisiens qui mènent donc 42-37, puis 47-42, 49-43 et 51-47 au troisième quart-temps. « Par moments, l’attaque a flanché. C’est un des points faibles que j’ai notés », reconnaissait aussi Neva Vadiveloo. Au quatrième quart-temps, les Réunionnais se réveillent. Ils ont plus de répondant et même si le Real prend une option, leur jeu devient brouillon et ils se font rattraper dans les dernières minutes (65-63).
À moins d’une minute de la fin, les Port-Louisiens, en proie au doute, se ressaisissent pourtant. Frédéric Dubois semble devenir l’homme providentiel, puisque son tir à trois points, à dix secondes du terme, redonne l’avantage au Real (66-65). C’est l’explosion dans le public qui a fait le déplacement, mais aussi surtout le banc du Real.
Neva Vadiveloo pouvait sourire. « Parfois, quand je faisais tourner mon banc, les choses ne se passaient pas forcément comme on le souhaitait. Mais après le match, je ne peux qu’être satisfait des joueurs. » Par contre, du côté de Saint-Pierre, on pleure ces 24 malheureuses secondes où le ballon aurait seulement dû circuler. « Nous avons manqué de lucidité », reconnaît le coach saint-pierrois, Daniel Doro. « Dans l’ensemble, on a perdu bêtement. À 24 secondes, il fallait seulement garder le ballon. »
Saint Pierre devait avoir l’occasion de se rebiffer lors de sa prochaine sortie, contre les Malgaches d’ASTUC cet après-midi à 17h au gymnase de Phoenix. Quant au Real, il affronte les Seychellois de Hawks à 19h, au même endroit. « Mais c’est une autre paire de manches », conclut Neva Vadiveloo.
Real : pour un point de plus
Le Real de Port-Louis a débuté sa campagne sur la meilleure note, même si le doute a souvent eu droit de cité dans les conversations entre le coach Neva Vadiveloo et ses ouailles. 66-65 pour les Port-Louisiens face aux Saint-Pierrois : score étriqué à souhait au vu de la rencontre, elle aussi très disputée. Mais l’important est d’avoir triomphé.
Dans une rencontre que chacune des deux équipes voulait marquer de son empreinte, ce sont bien les Port-Louisiens qui scorent les premiers. Rapidement, le score passe à 8-4 en faveur du Real. Mais vers le milieu du premier quart-temps, il se fait rattraper (10-9).
Ce petit réveil des Réunionnais laisse place à une période de doute, puisqu’ils se font distancer (17-10) avant de recoller.
Neva Vadiveloo, qui a effectué le recrutement du Nigérian Ugbage Ajodah, devait tester sa nouvelle perle. Il n’a pas eu tort. Ce dernier a souvent sorti le Real de situations délicates, marquant tout en finesse et se retrouvant même avec le meilleur pointage (13 points).
Au premier quart-temps, le Real mène 23-18. « Dans l’ensemble, je suis satisfait des joueurs. Il y a bien quelques petits réglages, mais tout a fonctionné. » Au deuxième quart-temps, les Saint-Pierrois ne parviennent toujours pas à prendre l’avantage. Mais toujours est-il qu’ils affichent une combativité exemplaire. Et leurs efforts sont récompensés. À la pause, ils mènent de deux points (37-35).
Les choses sont donc bel et bien engagées pour les deux équipes, et c’est à qui profitera de la première brèche ouverte.
Retour de pause, et passés les rounds d’observation, les deux formations croisent à nouveau le fer. Un lancer à trois points de Frédéric Dubois permet au Real de reprendre la tête et sonne la charge.
Les choses évoluent positivement pour les Port-Louisiens qui mènent donc 42-37, puis 47-42, 49-43 et 51-47 au troisième quart-temps. « Par moments, l’attaque a flanché. C’est un des points faibles que j’ai notés », reconnaissait aussi Neva Vadiveloo. Au quatrième quart-temps, les Réunionnais se réveillent. Ils ont plus de répondant et même si le Real prend une option, leur jeu devient brouillon et ils se font rattraper dans les dernières minutes (65-63).
À moins d’une minute de la fin, les Port-Louisiens, en proie au doute, se ressaisissent pourtant. Frédéric Dubois semble devenir l’homme providentiel, puisque son tir à trois points, à dix secondes du terme, redonne l’avantage au Real (66-65). C’est l’explosion dans le public qui a fait le déplacement, mais aussi surtout le banc du Real.
Neva Vadiveloo pouvait sourire. « Parfois, quand je faisais tourner mon banc, les choses ne se passaient pas forcément comme on le souhaitait. Mais après le match, je ne peux qu’être satisfait des joueurs. » Par contre, du côté de Saint-Pierre, on pleure ces 24 malheureuses secondes où le ballon aurait seulement dû circuler. « Nous avons manqué de lucidité », reconnaît le coach saint-pierrois, Daniel Doro. « Dans l’ensemble, on a perdu bêtement. À 24 secondes, il fallait seulement garder le ballon. »
Saint Pierre devait avoir l’occasion de se rebiffer lors de sa prochaine sortie, contre les Malgaches d’ASTUC cet après-midi à 17h au gymnase de Phoenix. Quant au Real, il affronte les Seychellois de Hawks à 19h, au même endroit. « Mais c’est une autre paire de manches », conclut Neva Vadiveloo.
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