TUNISIE : DEMI-FINALES RETOUR DU SUPER PLAY-OFF
L’élément psychologique…
Le CA et l’ESS, d’une part, l’ESR et l’USM, d’autre part, savent que les nerfs et la motivation sont les clés
de la partie
Le CA et l’ESS, vainqueurs de la première manche de la demi-finale, sont-ils sûrs d’aller en finale? Les observateurs les placent en favoris pour jouer la finale et passer le cap de leurs hôtes demain.
Ascendant psychologique, qualité de l’effectif et des individualités et enfin métier, tous les arguments sont bons pour élire le CA et l’ESS. Mais peut-on dire pour autant que les dés sont jetés et que l’ESR et l’USM ont jeté l’éponge? A notre avis, cette affirmation n’est pas justifiée.
L’effet maison
Cette saison, l’USM a accompli de gros progrès sous la houlette de Sami Chaouch avant qu’il soit lamentablement limogé. A chaque fois que l’USM joue à domicile, elle a posé d’énormes problèmes à ses adversaires. Pour l’anecdote, elle a battu deux fois l’ESS, une fois en play-off et une seconde fois en coupe. Cela veut dire que la salle et le public de Monastir vont pousser leur cinq, profitant un peu de la rivalité sportive qui existe entre les deux clubs.
Cela s’applique aussi à l’ESR qui joue nettement mieux chez elle, devant son public. Les équipiers de Amor Abada ont des statistiques meilleures à domicile qu’à l’extérieur. Encore une fois, ça va être une salle chaude et passionnée qui va poser de grosses difficultés au CA.
On risque d’assister à une belle sur les deux affiches. Ça va être ouvert : les joueurs se connaissant très bien et il y a eu tellement de progrès de la part de l’USM et de l’ESR que tout reste envisageable. On en a fini avec les saisons où l’ESS et le SN se partageaient la domination en championnat et en coupe. L’actuelle saison a bouleversé la physionomie du championnat. Tant mieux.
de la partie
Le CA et l’ESS, vainqueurs de la première manche de la demi-finale, sont-ils sûrs d’aller en finale? Les observateurs les placent en favoris pour jouer la finale et passer le cap de leurs hôtes demain.
Ascendant psychologique, qualité de l’effectif et des individualités et enfin métier, tous les arguments sont bons pour élire le CA et l’ESS. Mais peut-on dire pour autant que les dés sont jetés et que l’ESR et l’USM ont jeté l’éponge? A notre avis, cette affirmation n’est pas justifiée.
L’effet maison
Cette saison, l’USM a accompli de gros progrès sous la houlette de Sami Chaouch avant qu’il soit lamentablement limogé. A chaque fois que l’USM joue à domicile, elle a posé d’énormes problèmes à ses adversaires. Pour l’anecdote, elle a battu deux fois l’ESS, une fois en play-off et une seconde fois en coupe. Cela veut dire que la salle et le public de Monastir vont pousser leur cinq, profitant un peu de la rivalité sportive qui existe entre les deux clubs.
Cela s’applique aussi à l’ESR qui joue nettement mieux chez elle, devant son public. Les équipiers de Amor Abada ont des statistiques meilleures à domicile qu’à l’extérieur. Encore une fois, ça va être une salle chaude et passionnée qui va poser de grosses difficultés au CA.
On risque d’assister à une belle sur les deux affiches. Ça va être ouvert : les joueurs se connaissant très bien et il y a eu tellement de progrès de la part de l’USM et de l’ESR que tout reste envisageable. On en a fini avec les saisons où l’ESS et le SN se partageaient la domination en championnat et en coupe. L’actuelle saison a bouleversé la physionomie du championnat. Tant mieux.
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