TUNISIE : Salah Mejri en direct d’Espagne
«Tout a changé…»
Du gabarit au caractère, en passant par le mode de vie, l’international tunisien raconte sa «success story» chez les «Blusens Monbus».
Pour sa première année chez les «Blusens Monbus», on peut dire que Salah Mejri a complètement réussi. Le Tunisien défraye la chronique en Espagne. Il obtient le trophée de la meilleure révélation en championnat et il permet à son club de passer pour la première fois de son histoire au play-off après avoir battu Bilbao Bustut 76-70. Fou comme saison, fou comme rêve qui se réalise. On vous fait vivre les à-côtés de ce match comme si vous y étiez (un grand merci à Farouk Kallel qui a arrangé un entretien avec Salah Mejri et qui nous a ramené la une des journaux sportifs espagnols).
«Hyper-content…»
Quelques minutes avant le coup d’envoi du match, Salah a obtenu officiellement son trophée. Emouvant comme ambiance. Le Tunisien a obtenu la confiance des entraîneurs, joueurs et journalistes. L’équipe de Moncho Fernandez, quant à elle, a réalisé l’exploit de passer au play-off et d’affronter le grand Real Madrid. L’effet Salah Mejri? Oui, en grande partie, car pour quelqu’un qui a joué 30’, marqué 12 points, fait 14 rebonds et 7 contres, on ne peut dire qu’il n’est pas important et déterminant. «Ça se passe très bien pour moi en Espagne. Les débuts ont été assez pénibles. C’était dur de m’adapter rapidement au rythme d’un championnat aussi fort. Je découvre encore ce qui est le basket de haut niveau. Tout est nouveau pour moi. Le rythme de vie a changé aussi : je m’entraîne dur avec l’équipe et dur en solitaire. Vous mangez différemment, vous êtes suivi tout le temps par le staff. Et rien n’est laissé au hasard. Sur les matches, j’ai dû prendre un peu de temps pour assimiler mes rôles tactiques. Ce n’est pas facile de réussir à chaque match. Tout le monde ne lâche rien», nous a dit Salah Mejri.
Notre Salah Mejri est auréolé de ses performances en Espagne. «C’est un rêve que je vis dans mon équipe. On va au play-off, on joue face au grand Real Madrid, j’obtiens le trophée de meilleure révélation, je suis hyper-content. J’ai appris beaucoup de choses en basket depuis mon arrivée. La technique de gérer les mouvements sous le panneau, le contre, l’art de gagner des rebonds, la concentration, etc. J’ai bien fait de quitter le championnat tunisien pour gagner en métier.
N’empêche que je dois beaucoup à ce championnat et à la sélection qui m’ont mis sur la voie royale», enchaîne-t-il.
«Blusens Monbus», un club qui n’est pas grand en Espagne, n’est pas l’accomplissement pour notre Salah Mejri. Son prochain club, c’est le Real Madrid pour lequel il s’est engagé pour deux ans (même s’il ne veut pas rendre cette information officielle).
Mais avant cela, une pensée pour le championnat d’Afrique des nations et à la sélection. Pour S. Mejri, «Aborder l’Afro basket en tant que tenant du titre est quelque chose de difficile. Nous sommes l’équipe à battre, nous aurons une pression sur les épaules face à des sélections qui ont, elles aussi, envie de remporter le sacre. Je vous raconte une anecdote : en discutant avec un joueur de Côte d’Ivoire, il m’a dit qu’ils attendent impatiemment de jouer contre la Tunisie et qu’ils préparent des plans de jeu pour me contrer sous le panneau».
Quand vous regardez Salah Mejri jouer, vous comprenez ce que veut dire changement. Plus costaud, plus audacieux, plus patient et surtout plus adroit, Salah Mejri est un vrai modèle pour nos jeunes basketteurs.
Pour sa première année chez les «Blusens Monbus», on peut dire que Salah Mejri a complètement réussi. Le Tunisien défraye la chronique en Espagne. Il obtient le trophée de la meilleure révélation en championnat et il permet à son club de passer pour la première fois de son histoire au play-off après avoir battu Bilbao Bustut 76-70. Fou comme saison, fou comme rêve qui se réalise. On vous fait vivre les à-côtés de ce match comme si vous y étiez (un grand merci à Farouk Kallel qui a arrangé un entretien avec Salah Mejri et qui nous a ramené la une des journaux sportifs espagnols).
«Hyper-content…»
Quelques minutes avant le coup d’envoi du match, Salah a obtenu officiellement son trophée. Emouvant comme ambiance. Le Tunisien a obtenu la confiance des entraîneurs, joueurs et journalistes. L’équipe de Moncho Fernandez, quant à elle, a réalisé l’exploit de passer au play-off et d’affronter le grand Real Madrid. L’effet Salah Mejri? Oui, en grande partie, car pour quelqu’un qui a joué 30’, marqué 12 points, fait 14 rebonds et 7 contres, on ne peut dire qu’il n’est pas important et déterminant. «Ça se passe très bien pour moi en Espagne. Les débuts ont été assez pénibles. C’était dur de m’adapter rapidement au rythme d’un championnat aussi fort. Je découvre encore ce qui est le basket de haut niveau. Tout est nouveau pour moi. Le rythme de vie a changé aussi : je m’entraîne dur avec l’équipe et dur en solitaire. Vous mangez différemment, vous êtes suivi tout le temps par le staff. Et rien n’est laissé au hasard. Sur les matches, j’ai dû prendre un peu de temps pour assimiler mes rôles tactiques. Ce n’est pas facile de réussir à chaque match. Tout le monde ne lâche rien», nous a dit Salah Mejri.
Notre Salah Mejri est auréolé de ses performances en Espagne. «C’est un rêve que je vis dans mon équipe. On va au play-off, on joue face au grand Real Madrid, j’obtiens le trophée de meilleure révélation, je suis hyper-content. J’ai appris beaucoup de choses en basket depuis mon arrivée. La technique de gérer les mouvements sous le panneau, le contre, l’art de gagner des rebonds, la concentration, etc. J’ai bien fait de quitter le championnat tunisien pour gagner en métier.
N’empêche que je dois beaucoup à ce championnat et à la sélection qui m’ont mis sur la voie royale», enchaîne-t-il.
«Blusens Monbus», un club qui n’est pas grand en Espagne, n’est pas l’accomplissement pour notre Salah Mejri. Son prochain club, c’est le Real Madrid pour lequel il s’est engagé pour deux ans (même s’il ne veut pas rendre cette information officielle).
Mais avant cela, une pensée pour le championnat d’Afrique des nations et à la sélection. Pour S. Mejri, «Aborder l’Afro basket en tant que tenant du titre est quelque chose de difficile. Nous sommes l’équipe à battre, nous aurons une pression sur les épaules face à des sélections qui ont, elles aussi, envie de remporter le sacre. Je vous raconte une anecdote : en discutant avec un joueur de Côte d’Ivoire, il m’a dit qu’ils attendent impatiemment de jouer contre la Tunisie et qu’ils préparent des plans de jeu pour me contrer sous le panneau».
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