MAROC : Une guéguerre interminable et la victime la balle orange
Le feuilleton ridicule que nous ont infligé respectivement le bureau fédéral et certains clubs contestataires depuis le début de la saison était indigne des représentants de la balle orange. Ces mauvais acteurs qui se sont livrés à une bataille féroce par médias interposés ont fini par s’entendre pour le démarrage du championnat, tenez-vous bien, en février 2013. Ce spectacle du mauvais goût restera longtemps dans les annales du basketball national et ne fera certainement pas honneur à ceux qui l’on produit, alors qu’ils auraient pu dès le départ comme ils l’ont fait maintenant mettre en place une commission chargée de la gestion des affaires de la Fédération royale marocaine de basketball jusqu’à la tenue de son assemblée générale élective et permettre au championnat de se dérouler le plus normalement possible.
Qu’a-t-il véritablement changé dans la gestion du basketball national depuis que le bras de fer oppose le bureau fédéral ou du moins ce qui en reste et certains clubs contestataires ? La réponse est rien. La discipline patauge toujours dans ces problèmes et le niveau de la pratique de cette discipline est en constance régression. Cinq mois de paralysie qui vont coûter cher à ce sport et au final un accord qui donne le feu vert au démarrage du championnat sous une forme inédite : deux groupes nord et sud de cinq équipes chacun. Autrement dit, moins de matchs pour les clubs. Officiellement, cette nouvelle formule vise à gagner du temps pour que le championnat se termine dans les meilleurs délais. Pourtant, aucune partie des belligérants ne s’est jamais souciée du démarrage du championnat puisque chacune a campé sur ses positions sans se soucier de l’intérêt général. Et soudainement, ceux qui refusaient de s’entendre et de trouver un accord l’ont trouvé par miracle. Comment l’opinion publique ou du moins celui qui suit de près l’activité du basketball va-t-il accueillir cet accord puisqu’en réalité c’est toujours le statu quo dans la crise qui secoue cette fédération ?
En faite, tous ces mauvais acteurs se chamaillaient pour une seule et unique raison : sauver les postes qu’ils occupent ou pour certains d’autres tenter de briguer ces mêmes postes.
Sinon pourquoi n’ont-ils pas permis au championnat de démarrer depuis le début de la saison et ensuite se pencher sur la résolution des problèmes en suspens ?
La relégation annulée
Les querelles intestines entre la famille du basketball ont levé le voile sur le vrai visage des gens qui gravitent autour de cette discipline, lesquels placent leur intérêt personnel sur celui de la discipline. Et comme toujours dans ce genre de problème, les belligérants ont fini par trouver une parade qui fera rire plus d’un, à savoir l’annulation de la relégation. Autrement dit, aucun club ne sera rétrogradé cette année. Une mesure destinée à faire plaisir à tout le monde faisant fi même des principes de la compétition sportive qui fait qu’à la fin de la saison les meilleurs sont récompensés par les trophées qu’ils remportent et les mauvais élèves sont rétrogradés laissant la place aux meilleures équipes de la deuxième division. Eh bien non, ça ne sera pas comme cette année. Exceptionnellement, aucune équipe ne sera reléguée : «En raison d’une conjoncture difficile que notre discipline a traversée en ce début de saison, et compte tenu du retard accusé quant au démarrage du championnat, il a été décidé et à titre exceptionnel, qu’aucune équipe ne sera reléguée en deuxième division quel que soit son classement final», indique la FRMBB sur son site Internet. Cette décision a été prise alors qu’une décision de forfait général a été prononcée il y a quelques semaines à l’encontre de certains clubs qui ont refusé de disputer le championnat.
Les protagonistes ont également convenu de mettre en place une commission chargée de trouver une issue à la crise dans laquelle se trouvait la balle orange nationale. Cette commission est chargée de la gestion des affaires de la fédération royale marocaine de basketball jusqu’à la tenue de son assemblée générale élective. On se demande alors pourquoi ils n’ont pas trouvé cette issue de crise depuis le début de la saison et épargné à l’opinion sportive nationale toute cette mascarade.
Tout cela pour dire que ça ne tourne pas rond au sein de la fédération, alors que le ministre de la Jeunesse et des sports se contente de suivre les péripéties de ces histoires sans taper du poing sur la table.
En faite, tous ces mauvais acteurs se chamaillaient pour une seule et unique raison : sauver les postes qu’ils occupent ou pour certains d’autres tenter de briguer ces mêmes postes.
Sinon pourquoi n’ont-ils pas permis au championnat de démarrer depuis le début de la saison et ensuite se pencher sur la résolution des problèmes en suspens ?
La relégation annulée
Les querelles intestines entre la famille du basketball ont levé le voile sur le vrai visage des gens qui gravitent autour de cette discipline, lesquels placent leur intérêt personnel sur celui de la discipline. Et comme toujours dans ce genre de problème, les belligérants ont fini par trouver une parade qui fera rire plus d’un, à savoir l’annulation de la relégation. Autrement dit, aucun club ne sera rétrogradé cette année. Une mesure destinée à faire plaisir à tout le monde faisant fi même des principes de la compétition sportive qui fait qu’à la fin de la saison les meilleurs sont récompensés par les trophées qu’ils remportent et les mauvais élèves sont rétrogradés laissant la place aux meilleures équipes de la deuxième division. Eh bien non, ça ne sera pas comme cette année. Exceptionnellement, aucune équipe ne sera reléguée : «En raison d’une conjoncture difficile que notre discipline a traversée en ce début de saison, et compte tenu du retard accusé quant au démarrage du championnat, il a été décidé et à titre exceptionnel, qu’aucune équipe ne sera reléguée en deuxième division quel que soit son classement final», indique la FRMBB sur son site Internet. Cette décision a été prise alors qu’une décision de forfait général a été prononcée il y a quelques semaines à l’encontre de certains clubs qui ont refusé de disputer le championnat.
Les protagonistes ont également convenu de mettre en place une commission chargée de trouver une issue à la crise dans laquelle se trouvait la balle orange nationale. Cette commission est chargée de la gestion des affaires de la fédération royale marocaine de basketball jusqu’à la tenue de son assemblée générale élective. On se demande alors pourquoi ils n’ont pas trouvé cette issue de crise depuis le début de la saison et épargné à l’opinion sportive nationale toute cette mascarade.
Tout cela pour dire que ça ne tourne pas rond au sein de la fédération, alors que le ministre de la Jeunesse et des sports se contente de suivre les péripéties de ces histoires sans taper du poing sur la table.
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