TUNISIE :Groupe A — Tunisie-Nigeria (9h00)
C’est un des matches où notre cinq national a des chances de gagner.
Nous sommes ravis d’écrire un article sur la sélection masculine qui joue ce matin son premier match aux Jeux olympiques. Nous sommes même fiers, nous qui avons suivi cette équipe quand elle était au bas de l’échelle. La date d’aujourd’hui est historique pour toute la famille du basket tunisien. Nous jouons le Nigeria avec la nette envie de gagner, même si le fait d’y être est une énorme consécration. On ne peut pas être sévère avec nos joueurs. On leur demandera juste de jouer sans complexes et de nous faire plaisir. C’est tout. On sera un peu gourmand en leur demandant de gagner au moins le match d’aujourd’hui.
Nous sommes champions d’Afrique, nous avons quand même cette «obligation morale» de rentrer avec une victoire pour honorer notre statut africain. Pour le reste, nos cœurs battront pour notre sélection qui a fait des progrès à tous les niveaux.
A. Tlatli : «Solutions intérieures...»
Le groupe tunisien est en pleine activité. Entraînements, concertation entre membres du staff et envie de franchir le pas du Nigeria, c’est ainsi que ça se passe dans le camp tunisien. Nous avons réussi à joindre Adel Tlatli hier matin pour nous parler de ce premier match.
Match-clef des JO?
«C’est une équipe qui, sur le papier, est à la portée. Mais il faut savoir la manier, son niveau est très élevé après sa qualification aux JO. On va essayer de ramener une victoire de Londres, ça anime tout le monde. Mais le fait d’être sur les JO est pour nous un grand accomplissement».
Profil du cinq tunisien?
«Cette fois, mon équipe se porte nettement mieux à l’intérieur qu’à l’extérieur. On a un problème de joueurs extérieurs (ailiers). Quand nous jouons contre une équipe athlétique, nos ailiers se fatiguent, avec aussi un petit handicap de taille. A l’intérieur, les choses sont meilleures : Makram Ben Romdhane a donné une autre dimension à la sélection. Nous avons une équipe sereine, appliquée qui a les pivots compétents pour tennis contre les grosses cylindrées».
Dernières consignes?
«Le stress a diminué après l’ouverture des JO. Les joueurs sont décontractés, ça me facilite la communication. Je dis à mes joueurs une seule chose : c’est bien d’être là, mais c’est mieux de gagner. Allez-y, vous en êtes capables».
Marouène Kechrid, Makram Ben Romdhane et Salah Mejri sont sûrs de commencer contre le Nigeria. Deux places à prendre pour Rezig, H’didane, Selimène et Hafsi. Bonne chance!
Nous sommes ravis d’écrire un article sur la sélection masculine qui joue ce matin son premier match aux Jeux olympiques. Nous sommes même fiers, nous qui avons suivi cette équipe quand elle était au bas de l’échelle. La date d’aujourd’hui est historique pour toute la famille du basket tunisien. Nous jouons le Nigeria avec la nette envie de gagner, même si le fait d’y être est une énorme consécration. On ne peut pas être sévère avec nos joueurs. On leur demandera juste de jouer sans complexes et de nous faire plaisir. C’est tout. On sera un peu gourmand en leur demandant de gagner au moins le match d’aujourd’hui.
Nous sommes champions d’Afrique, nous avons quand même cette «obligation morale» de rentrer avec une victoire pour honorer notre statut africain. Pour le reste, nos cœurs battront pour notre sélection qui a fait des progrès à tous les niveaux.
A. Tlatli : «Solutions intérieures...»
Le groupe tunisien est en pleine activité. Entraînements, concertation entre membres du staff et envie de franchir le pas du Nigeria, c’est ainsi que ça se passe dans le camp tunisien. Nous avons réussi à joindre Adel Tlatli hier matin pour nous parler de ce premier match.
Match-clef des JO?
«C’est une équipe qui, sur le papier, est à la portée. Mais il faut savoir la manier, son niveau est très élevé après sa qualification aux JO. On va essayer de ramener une victoire de Londres, ça anime tout le monde. Mais le fait d’être sur les JO est pour nous un grand accomplissement».
Profil du cinq tunisien?
«Cette fois, mon équipe se porte nettement mieux à l’intérieur qu’à l’extérieur. On a un problème de joueurs extérieurs (ailiers). Quand nous jouons contre une équipe athlétique, nos ailiers se fatiguent, avec aussi un petit handicap de taille. A l’intérieur, les choses sont meilleures : Makram Ben Romdhane a donné une autre dimension à la sélection. Nous avons une équipe sereine, appliquée qui a les pivots compétents pour tennis contre les grosses cylindrées».
Dernières consignes?
«Le stress a diminué après l’ouverture des JO. Les joueurs sont décontractés, ça me facilite la communication. Je dis à mes joueurs une seule chose : c’est bien d’être là, mais c’est mieux de gagner. Allez-y, vous en êtes capables».
Marouène Kechrid, Makram Ben Romdhane et Salah Mejri sont sûrs de commencer contre le Nigeria. Deux places à prendre pour Rezig, H’didane, Selimène et Hafsi. Bonne chance!
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